Wallonie 2010

"Forcer l'Avenir - Rejoindre la France"
 

 
 
 

Prendre le taureau par les cornes



L'éveil de la Wallonie










 

 


Les petites réflexions au jour le jour

Le 8-12-2012

 

 

 

 

 

 



 

 






 

Rattachisme ou pas ?

La question qui se pose en ces temps difficiles est peut-on encore croire au rattachisme. La réponse est certes oui, car il est indéniable que la Wallonie a un besoin de briser les chaînes belges qui l'étouffent pour pouvoir envisager un avenir viable et ce n'est pas le plan 2020 que le fade socialiste Demotte qui va le permettre.

Mais le temps du doute existe pourtant. La France, cette puissance mondiale qu'il ferait bon de rejoindre, est en train de couler sous les coups d'un socialisme européiste, immigrationniste et islamiste. La belgique aussi, me direz-vous.

C'est donc bien le moment de combattre ce qui s'avère des ennemis communs, essentiellement le socialisme à la Hollandaise et la progression de cet islam exigeant qui prend ses marques au détriment de la culture et de l'identité républicaine. La politique actuelle devient un véritable génocide par un remplacement des peuples et de leurs traditions par de nouveaux arrivants, devenus trop nombreux.

Car l'islam cette religion politique de conquête sait à juste titre que la démocratie, par le biais des nouveaux électeurs toujours plus nombreux deviendra tôt ou tard, leur théocratie avec toutes les règles d'un état où les lois de dieu, aussi archaïques soient-elles, remplaceront les valeurs des lois républicaines. Par conséquent, le combat principal devient la résistance à cet avenir de deuil qui attend  la nation, même si l'on reste totalement acquis à l'idée de rejoindre nos frères français.

C'est maintenant qu'il faut réagir pour quitter cette union européenne liberticide et remettre au pouvoir de véritables patriotes plutôt que des collaborateurs à la mort lente de la France et de son identité ! Charles De Gaulle, libérateur de la France avait dit:

« C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France . Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne."

Le 11-11-2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 






 

11 novembre - Un Souvenir ému

J'ai vu pendant trois ans tomber les feuilles mortes
Sur la tombe entr'ouverte, ou dans le trou béant
J'ai vu lutter la vie avec le noir néant
Et du Kaiser grouiller les immondes cohortes...
Verdun ! Parmi tes forts dans la Woëvre lointaine
Dans tes ravins maudits et sur tes verts coteaux
Quand l'astre d'or coulait sur toi sa chaude haleine
J'ai vu sur nos soldats planer les vils corbeaux
J'ai vu les noirs obus foudroyer tes domaines
J'ai vu, quand la nuit l'ombre couvrait tes plaines
Nos soldats s'élancer à l'assaut en chantant.
J'ai vu le feu léchant des ruines, des poussières
J'ai vu la mort peupler de vastes cimetières
Et bien des front rougir par son sceptre sanglant.
J'ai vu tes arbres morts dressant au ciel immense
Leurs moignons suppliants, leurs tronçons mutilés.
Et quand le vent du nord, en ces lieux désolés,
Complétait ses forfaits, brisant leur résistance,
J'ai vu leurs troncs maudits secoués de frissons
Et leurs bras calcinés, faits de branches tremblantes
Tressaillir tristement, clamer leur épouvante...
Et j'entendais souvent gémir les noirs buissons !
Et puis parfois aussi, dans l'humide tranchée
S'écroulant sous l'acier des engins monstrueux
Quant au corps pantelant, l'âme semble arrachée
J'ai vu des bras humains se dresser vers les cieux !
oi

A. GUIDUCCI
Ajaccio, septembre 1920
 

Le 18-10-2012

 

 

 

 

 

 

 



 

 






 

Le RWF marque un recul aux élections provinciales

Sous la nouvelle présidence, le RWF recule dans les scores électoraux par rapport aux élections fédérales et régionales. Manque de visibilité de Paul-Henry Gendebien ? Manque de charisme de Laurent Brogniet ? Démotivation d'une partie des militants ? Le fait d'une France à la dérive sous le gouvernement Hollande ? Ou simplement renouvellement de la confiance du Wallon dans la belgique immortelle puisque les politicards francophones hurlent à l'apaisement des conflits communautaires ?

A mon avis un peu de tout cela a joué dans cette régression des scores. Pourtant le vote de protestation a existé mais s'est reporté sur le PTB+ et un peu sur le FDF.

La direction du RWF a beau affirmer qu'il se maintient par rapport aux mêmes élections de 2006, le programme principal du parti est bien le retour à la France et non celui d'une gestion provinciale, régionale ou fédérale. Les électeurs conscients qu'il est impossible de voir un jour le parti atteindre 51%, votent donc pour le rayonnement de l'idée plutôt que pour une influence dans la gestion politique. Il faut donc bien comparer les scores de 2012 avec ceux de 2010.

L'on peut donc en conclure que le RWF va devoir constamment, malgré ses faibles moyens, être sur une attitude d'opposition forte et une présence accrue dans toutes les manifestations qui ne manqueront pas maintenant. Car maintenant, les élections passées, les augmentations de taxes et impôts divers de même que la diminution des services de l'état vont pleuvoir sur le citoyen, surtout que la partie flamande, fort du succés énorme de la NVA va demander encore plus de rigueur aux partis francophones qui sont au gouvernement fédéral ! Il serait aussi urgent que le parti crée une école des cadres et prépare ainsi des futurs candidats motivés et ayant suffisamment de connaissances pour pouvoir répondre parfaitement aux objections !

Sympathisants et militants rattachistes, il faut, contre vents et marées, vous mobiliser pour faire connaître la planche de salut pour notre région face à un confédéralisme destructeur, le retour à la France. Je sais qu'une déception profonde est là, mais elle doit être mobilisatrice au lieu du renoncement ou du découragement. Soutenez de toute votre âme, de toute votre volonté, de toutes vos forces le RWF, malgré vos divergences, vos reproches justifiés ou non. La traversée du désert est pénible mais elle est indispensable pour la réussite de la seule cause salvatrice que nos concitoyens, contraints et forcés, devront un jour rejoindre !

Résutats officieux:
Liège 1,51%
Luxembourg 1,4%
Namur 1,78%
Hainaut 0,82%
Brabant Wallon 1,25%


 

Le 21-06- 2012

 

 

 

 

 

 

 


 

 






 

Morte en 1970,
la Belgique est enterrée aujourd'hui

Geste symbolique, mais également historique, nous dit la presse couchée de belgïe. Le Roi Albert II a signé ce jeudi 19 juillet 2012 les 17 premiers textes de la 6e réforme de l'Etat, adoptées la semaine dernière au Parlement.

La mine réjouie, tous les chefs de partis étaient présents sauf le FDF et la N-VA. Pour les Flamands, cela se comprend aisément, les frontières de la nation flamande sont enfin définitivement fixées, laissant une région bruxellois désormais séparée de cette Wallonie que Demotte qualifiait de fédération Wallonie-Bruxelles. Une union factice de culture contre une unité territoriale. L'histoire de Dantzig qui se répète au niveau de la francophonie belge.

L'enthousiasme des francophones (aucun ne mérite l'appartenance wallonne) est plutôt mal venue. Eux qui se disent pour l'unité, en acceptant la scission de BHV, il ont rompu le nœud gordien qui unissait encre les deux peuples dans ce royaume en déliquescence.

Déjà le président du parlement flamand Kris Peeters a annonce que la nouvelle réforme de l'état ne suffirait pas. La volonté d'aller vers un confédéralisme qui leur convient est déjà dans leurs cartons. Une belgïe avec un gouvernement confédéral, véritable coquille vide, laissant la Flandre riche et puissante dicter sa loi à une Wallonie en état de paupérisation complète. Un territoire d'expansion vers l'est aurait dit
Von Bissing qui les aimait et les a inspirés

Que dire que si ce jour "historique" devrait être un jour de deuil pour les belgicains, il doit être un jour de liesse pour tous ceux qui désirent le retour de la Wallonie à la France. C'est toujours au moment ou le futur noyé touche le fond qu'il remonte à la surface et peut être sauvé.

Ceux qui croient que les Wallons sont résignés se trompent. Quand le peuple wallon sera affamé de pain, il le sera également de liberté. Et quand il se fâche ....

Rappelez-vous 1950 et 1960. Mais cette fois cela sera une révolution contre les riches nantis du nord !

Le 12-06- 2012

 

 

 

 

 

 


 

 






 

Le silence de la presse belge

Comme je le disais, il est difficile de rédiger ces éditos, la presse couchée devant SM Di Rupo 1er et ses maîtres européens et flamands ne se manifestant pas par des révélations sur la politique pratiquée par le gouvernement en place.

Le monde politique belge montre quelques petites dissensions, histoire d'amuser le troupeau de moutons qu'ils sont en train de tondre en silence quand il ne le conduit pas directement à l'abattoir (hallal?).

Il faut que ce soit un journal français qui alerte en des termes très durs l'un des exploits d'Onkelincx, ministre socialiste de la santé, en matière d'économie.

Daniel Salvatore Schiffer
, Philosophe, porte-parole, pour les pays francophones, du "Comité International contre la Peine de Mort, la Lapidation et la Pendaison" ("One Law For All"), nous décrit dans le journal LePoint.fr, sous le titre "
, la mise en vigueur, à travers une circulaire émise par l'Inami, "d'une honteuse, dangereuse et indigne loi : la suppression du remboursement du coût de l'assistance respiratoire, c'est-à-dire des bombonnes d'oxygène, à tous ceux qui ne pourront pas dûment prouver, via une batterie de tests cliniques à faire peur aux plus valides d'entre nous, l'état particulièrement délabré de leur santé pulmonaire."

Cette loi, nous dit l'auteur, concerne pas moins de 20 000 personnes en Belgique,  dans le but de faire des "économies". Mais pire : 8 000 d'entre elles ne rempliraient pas les nouvelles conditions requises pour ce genre d'assistanat : c'est dire si à cette terrible angoisse qui est celle de mourir étouffé - l'une des pires fins de vie qui soit - s'ajoute à présent, surtout pour les plus démunis sur le plan financier.

Mais je vous conseille de lire l'article au complet, il est le regard d'un étranger au problème mais qui s'indigne justement de l'inhumanité de ces politiciens qui nous oppressent !
Lire l'article en cliquant sur ce lien

Le 30-05- 2012

 

 

 

 

 


 

 


 

 

 

 






 

LE RWF, un parti sectaire comme les autres ?

De nombreux internautes, visiteurs de ce site, se sont étonnés de le voir figé depuis près de deux mois et m'ont envoyé de nombreux courriels pour s'inquiéter de ma santé, ce dont je les remercie.
 
 Qu'ils se rassurent, je suis en bonne santé physique, mais il faut dire que le moral est atteint.
 
 Atteint par la médiocrité du nouveau gouvernement qui, la presse étant aux ordres, communique très peu sur toutes les mesures qu'il prend et qui vont porter atteinte insensiblement, mais sûrement aux citoyens de cet état qui fut un pays de Cocagne et qui est devenu un radeau à la dérive.
 
 Mais aussi atteint par l'attitude du nouveau président du RWF qui clame, même sur les ondes de la RTBF, que son parti exclut l'extrême droite comme le FN en France.
 
 D'abord qui peut affirmer aujourd'hui que le Rassemblement Bleu Marine est d'extrême droite, alors que sous l'impulsion de sa présidente Marine Le Pen, il est devenu un parti populaire, social et patriote ? Alors qu'il totalise près de 20 % d'électeurs ?
 
 Que le président du RWF prenne une position péremptoire sur un parti auquel il n'appartient pas me trouble énormément. Car la solution proposée à la Wallonie (à laquelle j'adhère complètement) de quitter la belgique pour rejoindre la République française n'est-elle pas extrémiste?
 Qu'en pense le Wallon encore attaché à la souveraineté belge (qui devient de plus en plus flamande) ? N'est-ce pas en soi un extrémisme ? Quand le Général De Gaulle décida de ne pas reconnaître la capitulation de la France en mai 1940 et désavoua le gouvernement de Pétain n'était-il pas extrémiste ?
 
 L'extrémisme est le mot tarte à la crème que les tenants du système politique en place utilisent pour exclure les idées gênantes pour eux. En France, l'on parle de faire barrage au Rassemblement Bleu Marine pour sauver la démocratie. En quoi quelques députés FN au parlement sur les près de 600 membres qu'il compte bouleverseraient-ils l'équilibre de la République ? Mais est-ce démocratique que de refuser le résultat des élections d'un parti légal et républicain ?
 
 A hurler avec les loups, l'on en devient un soi-même, aussi bien que je conserve mon soutien externe au RWF, seul parti qui prône le rattachement, je consacrerai ce site à la lutte contre la dictature européenne. Car franchement à quoi servirait-il de se retrouver en France devenue une colonie d'un parlement européen, véritable Tour de Babel, sans plus aucune souveraineté et pouvoir d'agir sur son avenir !

Le 14-05-2012

 

 

 

 


 

 


 

 

 

 






 

Le nouveau président de la France

C’est fait,  François Hollande vient d’être élu à la magistrature suprême, il est le nouveau président de la République. Nicolas Sarkozy a été battu d’une courte tête.

 Le fait qu’il y a eu  plus de 2 millions de votes blancs ou nuls et près de 20% d’électeurs qui ont préféré aller à la pêche le 6 mai 2012 donne à penser que beaucoup de citoyens ne croient plus dans les propositions et les déclarations des deux candidats qui étaient opposés.

Pourquoi cela ? Probablement du dégoût pour des programmes pro-européens. En effet, comment croire au pouvoir d’un président et du parlement dans une nation dont quelque 80% des lois sont dictées et imposées par une Europe, dont 26 états membres n’ont que faire des problèmes français.

 La non-volonté de stopper une immigration tellement importante qu’il n’est plus possible d’assimiler tous les nouveaux arrivants et  la sensation que l’identité française se dilue dans les communautarismes religieux ou autres au point que les citoyens ne se sentent plus dans cette douce France, si bien chantée par Charles Trenet.

Mais quelque soit la couleur politique du président choisi démocratiquement, il est du devoir de tous les rattachistes de continuer à se battre pour que l’idée du retour de la Wallonie à la France continue à représenter une alternative crédible au délitement d’une Belgique moribonde et dont la Flandre a déjà choisi l’éclatement à moyen terme et la domination économique sur la Wallonie.

On ne choisit pas le rattachement à la carte, on y adhère totalement, respectueusement.

Frères français, je respecte votre choix démocratique et vous demande de retrouver le chemin de la souveraineté nationale, de vous battre pour l’exiger, car si la France continue à être gouvernée par les représentants, de quelque bord que ce soit, de la dictature européenne, elle ne sera plus la continuation de cette France éternelle, celle de Jeanne d’Arc ,celle de Louis XIV, celle des Droits de l’Homme et du Citoyen,  celle de Napoléon, celle du Général De Gaulle. Elle ne sera même plus la 5e puissance au monde, mais bien un morceau d’une Tour de Babel moderne.

Vive la République. Vive la France. Vive son indépendance !

Le 25-04-2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 


 

 

 

 

 

 






 

Rappel à nos frères français

Une fois n'est pas coutume, mais à l'aube de l'élection présidentielle, l'occasion m'a semblé particulièrement choisie pour citer ce poème que j'ai écris à l'intention de mes frères français. Noyé par une propagande européenne, leurs politiques oublient que ce qui a fait la grandeur de cette France éternelle, c'était sa souveraineté.

Par votre vote, choisissez la voie de l'indépendance nationale et donnez votre voix pour les candidats qui veulent vous rendre puissance et fierté, orgueil d'être de France . L'amour d'une Nation, de la République peut s'exprimer dans l’expression d’un l'amour fou. Car j'aime Marianne aussi fortement que celle qui occupe toutes ses pensées !

C’est bien de fêter le quatorze juillet,
Feu d’artifice et flonflons coutumiers.
Je me demande si les Français sont prêts
À renouer avec l’esprit premier

De cette merveilleuse révolution
Où tout un peuple a crié Liberté,
À bas les tyrans, vive la Nation,
L’Égalité et la Fraternité.

Bien que ces mots figurent sur les frontons,
Marianne a aujourd’hui triste figure.
Ses citoyens ressemblent à des moutons
Qui bêlent sous une cruelle censure.

Pourtant est toujours là l’esprit frondeur
Qui fait crier vengeance aux opprimés.
Des Sans-culotte retrouvons les valeurs
Qui offrent à tous une même dignité

Ce soir, mon amour va à Marianne,
hélas vendue aux financiers véreux.
La République n’est pas une courtisane
Mais une flamme dont je suis amoureux.

J’implore le ciel qu’elle gagne les moyens
de retrouver ce qui fit sa grandeur :
Et les Droits de l’Homme et du Citoyen,
Et le respect total de son honneur.

Que Je t’aime ma France. Comme un amant
Peut aimer à la folie sa maîtresse.
Je ne suis pas de toi légalement,
Mais j’espère et crois en tes promesses !

Et je souscris à ta déclaration,
Comme droits, Liberté, Propriété,
Sûreté, Résistance à l’oppression
Rendront à la Nation son unité !

Le 15-04-2012
 

 


 

 

 

 

 

 






 

De Lanotte, le clown du gouvernement

Le ministre fédéral de l'Économie Johan Vande Lanotte (sp.a) conseille aux entreprises de contester et de ne pas payer leurs factures de gaz plus élevées depuis ce 1er avril chez Electrabel et Luminus, alors que le gouvernement avait décidé d'un gel des prix à compter de cette date
Ces fournisseurs ont malgré tout décidé d'augmenter leur prix pour le gaz, arguant du manque de clarté de la loi.

Notre Gouvernement est donc incapable de rédiger une loi claire et précise.

 "Il est écrit, déclare-t-il,  à partir du 1er avril, même un enfant peut comprendre cela! ". "Il est tout de même étonnant que ces fournisseurs aient compris cela de manière erronée, alors que tout le monde avait bien compris du premier coup.

 Le ministre a chargé l'Inspection économique de faire annuler cette augmentation pratiquée par ces fournisseurs d'énergie. Le ridicule ne tue heureusement pas. Car, menace-t-il,  s'ils devaient refuser d'obtempérer, le gouvernement saisira alors le tribunal de commerce en référé comme n'importe quel citoyen lambda.

Et mieux, le ministre est prêt à retourner  devant le parlement, car "la Constitution autorise le vote de loi interprétative, avec un effet rétroactif au 1er avril. Nous avons promis que les prix seraient bloqués."

Si tous les ministres de Di Rupo travaillent ainsi dans l'élaboration des lois et décrets, attendons-nous à de beaux jours avec toutes les mesures qu'ils doivent mettre en œuvre pour réaliser les 25 milliards de déficit à compenser et les changements de la constitution.

De beaux jours s'annoncent devant nous, mais ils vont nous faire pleurer, plutôt que rire devant ce cirque !

Le 03-04-2012
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 




 

 





 

La fin d’une histoire d’amour ? Les Consuls de France en poste à Liège de 1874 jusqu'à 2011

1874   Monsieur CHAPEY
1875   Monsieur le Comte de DREE (décédé à Liège le 26 mai 1879)

1879   Monsieur RADERE-NIQUET (attaché à la Chancellerie Légation de France à Bruxelles remplit les fonctions de Consul du 19 mai

1887   Monsieur de COURTOIS

1891   Monsieur G. PASCAL, d'AIX, Vice-Consul

1899   Monsieur F. CROZIER, Consul ( nommé consul de 1ère classe et Chevalier de la Légion d'Honneur)

1903   Monsieur de la VAYSSIERE, Vice Consul, Chancelier du Consulat

1906   Monsieur F. CROZIER, nommé Consul Général à Liège en février

1907    Monsieur PALLU de la BARRIERE nommé Consul Général à Liège (en octobre 1991 est nommé dans l'Ordre de la Légion d'Honneur)

1913   Monsieur AVONDE-FROMENT Vice Consul

1919   Monsieur LABBE Consul (Consul Général à partir de 1925)

1930   Monsieur de ALBYTRE Consul

1931   Monsieur SARRIEN Consul jusqu'en 1940 où il rejoint le Quai d'Orsay

1945   Monsieur DANIEL-LAMAZIERE Consul Général (en décembre 1955 est nommé Ministre Plénipotenciaire en charge du Consulat de France)

1957   Monsieur Robert LATTAQUE Vice Consul
(en décembre 1957 est nommé gérant du Consulat)

1958   Monsieur GRAPINET Consul Général (juillet 1958)

1962   Monsieur THIOLLIER Consul Général

1966   Monsieur LAMBOTTE Consul Général

1971   Monsieur le Vicomte Louis de LAIGUE, Consul Général

1974   Monsieur Hubert CORNET Consul Général

1978   Monsieur Robert HOURCAILLOU Consul Général

1981   Monsieur Michel REUILLARD Consul Général

1985   Monsieur Marcel MARTIN Consul Général

1988   Monsieur AlainCHAMBON Consul Général

1992   Monsieur Gérard CANN Consul Général

1995   Monsieur Dominique PIN Consul Général

1998   Monsieur Jean-Paul DUMONT Consul Général

2001   Madame Edith RAVAUX Consule Générale

2005   Monsieur Patrick Fers Consul Général
2009   Monsieur Zaïr Kadadouche Consul Général

2011   Monsieur Nicolas Sarkozy, Président de la République française supprime le Consulat Général de Liège, ville pourtant détentrice de la Légion d’honneur.

Qu'est devenu l'attachement de la France à l'ancien Département de l'Ourte, qui avait demandé, par élection au suffrage universel
, le rattachement de la principauté de Liège à la République, le 7 décembre 1792? Sur 9700 électeurs qui  participèrent à ce suffrage, 9660 le firent en sa faveur.

 

Le 25-03-2012
 

 


 

 

 

 

 




 

 





 

Le calme tragique des cimetières

Certains m’ont interrogé sur la rareté de mes éditoriaux depuis quelques semaines.

Je suis, hélas, comme la plupart de mes citoyens sans voix devant le manque de communication et de transparence dans ce gouvernement où socialisme, libéralisme et humanisme sont étroitement liés dans une coalition dont le seul but est de conserver les avantages acquis par ces fous de pouvoir, amateurs de mandats juteux et d'avantages divers.

Il est sûr et même certain qu’ils ont d’âpres discussions avant de tomber d’accord sur des décisions qui vont plonger le pays dans un marasme de plus en plus grave, où les citoyens les plus faibles sont et seront encore plus écrasés par le rouleau des restrictions de services rendus à la population et celui des taxations diverses.

Il faut avouer que l’actualité récente leur a permis de faire oublier tout ce qu’ils trament dans notre dos. La presse s’est engouffrée dans les accidents, les attentats pour mieux se taire sur l’avenir que les politichiens nous préparent. Même les syndicats semblent avoir perdu la voix.

Compte tenu de tout cela, que puis-je encore dire puisqu’une omerta concertée plane sur le pays ?
Et ce n’est pas l’apparition d’un Wathelet junior, pauvre coquelet wallon, qui annonce que les travaux sur les réformes ont bien avancés, qui va nous distraire.

Comment ? Vers quelles décisions ? Avec quels renoncements ? Nous n'avons  pas à le savoir. Nous ne sommes que des électeurs. Nous avons élus sur base de promesses qu'ils ne tiennent aucun, tout occupés à leurs petites affaires.

Nous ne saurons à quelle sauce ils nous accommoderont le moment venu, quand nous ne pourrons même plus protester, même devant le zinc du Café du Commerce le plus proche.

Dormez tranquilles, citoyens wallons, si cela doit souvent hurler dans les allées sombres du pouvoir, le calme règne sur la région. Le calme tragique des cimetières !

Le 19-03-2012
 

 


 

 

 

 

 

 




 

 





 

Une page se tourne au RWF !

Le RWF nous a transmis le communiqué suivant ce dimanche 18 mars 2012

"Lors du Congrès statutaire du R.W.F. (Rassemblement Wallonie-France) qui  s’est tenu ce samedi 17 mars à Perwez, Laurent Brogniet a été élu à une très large majorité à la présidence du parti.

En tant que Président fondateur, Paul-Henry Gendebien  soutient la  nouvelle présidence et son équipe. Il reste actif au sein du parti. Pour le R.W.F.  aujourd’hui, et plus que jamais, son action repose sur  trois conclusions :

- la Flandre continue sa marche vers l’indépendance sur le dos de la Wallonie et de Bruxelles avec la bénédiction de M. Di Rupo
- la Wallonie, mal gérée par un parti socialiste obsolète qui contrôle tout, n’est pas viable sur le plan économique 
- une association avec la France, sous une forme à négocier, représente le seul contrat d’avenir pour nos enfants
."

Que dire sinon que Wallonie 2010 espère la réussite du RWF dans son combat salvateur et félicite son nouveau président pour son élection.

Il faut dire que j'appelle de tous mes vœux le maintien de la ligne politique que Paul-Henry Gendebien a toujours suivie sans compromission électoraliste, déclarant avec raison que le RWF devait être un parti de devoir et non de pouvoir.

Il n'y a aucune illusion à se faire, le RWF n'obtiendra jamais comme parti politique une nombre d'élus suffisant pour voter le retour à la France. Il lui faut donc convaincre de plus en plus de politiciens sincères de tous les partis et une majorité de citoyens pour réussir sa mission.

Une tribune ouverte au parlement, ce que je lui souhaite sincèrement,  sera certes un ouverture à une parole plus audible et aux médias, mais ne sera en rien une victoire significative.

Ce sera juste un petit pas en avant pour la progression des idées. Mais cela ne justifierait en rien un abandon des principes édictés par le président-fondateur !

Le 5-03-2012
 


 

 

 

 

 

 




 

 





 

Le RWF va-t-il changer de stratégie politique ?

Samedi prochain 17 mars, les élections statutaires du parti consacreront une nouvelle équipe de direction où Paul-Henry Gendebien cédera sa co-présidence à la présidence unique de Laurent Brogniet, lui-même ex-coprésident.

Compte tenu que c'est la section de Namur qui semble désormais vouloir diriger la stratégie du part, l'on peut raisonnablement se poser la question .

Rappelons-nous le tract très controversé distribué en prologue aux fêtes de Wallonie 2011 à Namur et peu dans la philosophie de PHG qui, malgré ses analyses toujours très combatives, n'a jamais utilisé ce genre d'arme qui ressemble plus à un "coup" médiatique" sans portée qu'à une argumentation élaborée.

Depuis la nouvelle mouture du site du parti, un lien conduit au blogue de Jean-Sébastien Jamart, qui fut pourtant un des contestataires principaux à la présidence de PHG lors de l'assemblée statutaire précédente. Je sais que la rancune n'est pas une qualité et que ce monsieur participe à des mouvements rattachistes dont on ne peut nier l'action positive, mais il faut avouer que c'est troublant.

Déjà à l'époque, les partisans du rejet de PHG aux oubliettes du parti dénonçaient la mollesse de la direction, comme de vrais petits politiciens attachés à obtenir un mandat, quitte à modifier la ligne tracée par son idéologue.

La section de Liège dont je faisais partie à l'époque, forte du nombre de ses membres, a témoigné d'une indépendance qui l'a conduit à contester la présidence et a semer une perturbation dans toutes les sections..

La section de Namur étant devenue aujourd'hui la plus active, pourrait-elle avoir la même tentation ?

Le RWF est un parti de devoir et non de pouvoir, aime à dire PHG. Il ne faudrait pas que dans l'illusion d'une progression possible des résultats électoraux, le RWF en vienne à perdre son âme ! C'est par la germination de ses idées que le RWF gagnera son combat et non en obtenant même deux ou trois élus !

Le 2-03-2012
 

 

 

 




 

 





 

Paul-Henry Gendebien ne sera plus président

En consultant l’agenda du site officiel du RWF, j’apprends que le prochain Congrès administratif se déroulera le samedi 17 mars 2012 à partir de 14h. Apparemment, un renouvellement de l’équipe dirigeante du parti est prévu à l’ordre du jour et une seule équipe a fait acte de candidature  avec Laurent Brogniet à la présidence et Bernard Claes, Annick Henrotte, Jeannine Holsbecks, Pierre-René Mélon et Nathalie Tramasure à la vice-présidence.

A lire cela, l’on se rend compte que Paul-Henry Gendebien ne dirigera plus son mouvement et cela m’attriste car cet homme a porté sur ses épaules avec courage, obstination et honneur la pensée de retour à la France.

Bien sûr, l’homme a mon âge et mérite de pouvoir faire un pas de côté, mais qu’en sera-t-il du futur ? Bien que Laurent Brogniet sera certainement un bon président, mais il manquera toujours l’aura d’un Gendebien à la tête du parti, même si l’on le charge des relations avec la France ou les médias, ou encore que l’on le nomme président honoraire.

Dans mon éditorial  du 20 novembre 2011 «  Aimer Paul-Henry Gendebien oui, le RWF cela dépend ! », je constatais le changement qui semblait s’opérer au sein du parti. Aujourd’hui, sans préjuger de l’avenir, il me semble que j’avais raison de m’inquiéter.

Le RWF, c’était Gendebien. Sera-t-il Brogniet ? L’avenir nous le dira. Mais comment ne pas être inquiet lorsque l’on sait combien les trahisons et les abandons ont marqué les 13 ans de vie du RWF, maintenu contre vents et marées, grâce à la volonté inébranlable de Paul-Henry Gendebien ?

Le 8-02-2012
 


 

 

 




 

 


 




 

Le putsch contre la constitution belge

Le site du RWF signale que " le quotidien bruxellois Le Soir lui-même le dit : « En fin de législature, gouvernement et parlement déclarent ouverts à révision les articles utiles » susceptibles de modification.

Or, nous dit le RWF, il se fait que la scission de BHV, qui amorce la future frontière d’État de la République de Flandre (avec Bruxelles comme capitale) associée aux Pays-Bas, ne fait aucunement partie de ces articles soumis à révision ! Cette scission implique d’ailleurs l’inscription dans la Constitution du régime électoral des six communes à facilités.

Pour certains élus, la Constitution, notre Loi fondamentale, semble se réduire à un vulgaire chiffon de papier adaptable à la météo du jour…

C’est ainsi que le gouvernement Di Rupo s’apprête à introduire un article 195 « transitoire » sur mesure qui déclarerait possible de modifier des articles de la Constitution qui ne figurent pas au « menu ». En toute logique et dans le respect de la Loi fondamentale, la scission de BHV (et d’autres réformes) est donc contraire à la Constitution."

Di Rupo 1er et son gouvernement, complices des Flamands pressés de se constituer une unicité territoriale, est train d’établir un véritable putsch contre la constitution.

Je me rappelle, qu'étant gamin à l'école communale, lors de la distribution des prix, l'on nous faisait chanter: "Je suis votre mère chérie, votre bien-aimée patrie. Voici la constitution, sûr garant de la nation".  

Tout évolue, la belgïe n'est plus ma mère chérie et la constitution n'est plus garante de la nation. Dont acte !

Le 3-02-2012
 


 

 

 




 

 


 




 

Une nouvelle camisole de force pour les peuples européens

25 des 27 pays de l'Union européenne ont accepté cette nuit de signer le « pacte budgétaire » voulu par l'Allemagne. C'est une nouvelle camisole de force pour le continent européen qui l'enfermera un peu plus dans la voie d'un fédéralisme budgétaire aussi autoritaire qu'inefficace.

Car les dirigeants européens, en décidant de sanctionner financièrement et automatiquement tout Etat ne présentant pas de budget à l'équilibre durcissent encore un peu plus une politique qui échoue depuis le traité de Maastricht en 1992.

Ce pacte budgétaire, n'est en effet rien d'autre qu'une règle d'airain imposant aux pays européens une politique de récession cumulative engendrant toujours plus de délocalisations, de chômage et donc de dettes.

Mais à l'inefficacité économique, l'UE impose un déni de démocratie en privant les peuples de leur souveraineté, et donc de leur pouvoir de décision, sur les grandes orientations économiques qui les concernent au premier chef.

Ce n'est pas par la contrainte et la soumission des peuples que l'Europe se relèvera, mais bien au contraire par la restauration des libertés. Sortir du carcan de l'euro fort pour instaurer une monnaie commune adaptée à nos économies, permettre le financement de l’État auprès de la banque de France à un taux de 0%, instaurer un protectionnisme si possible européen, et favoriser le soutien aux PME sont des mesures vitales au redressement de notre pays.

Nicolas Dupont-Aignan
Député de l'Essonne
candidat à la présidence de la République

Le 31-01-2012
 


 

 

 




 

 


 




 

Bientôt la tempête sur l'institutionnel ?

Ce mardi, suite à l’accord conclu au sommet européen sur la règle d’or imposée aux États membres,  Didier Reynders, ministre fédéral des Affaires étrangères déclarait à Bel-RTL : « On est peut-être parmi les premiers à être sermonné ou être suivi de près par l’Europe. Mais à nous de respecter des engagements que nous avons pris nous-mêmes. C’est-à-dire être en dessous de 3% de déficit cette année. Être à l’équilibre en 2015. La grande difficulté en Belgique ce sera de traduire cela dans notre système fédéral. C’est très difficile en Espagne ou en Allemagne. C’est difficile aussi en Belgique. Pourquoi? Il y a un objectif de tout le pays, le fédéral doit faire son travail, les régions et communautés aussi, les pouvoirs locaux également. Une des difficultés chez nous, cela va être de traduire cet engagement dans la constitution ou dans des lois spéciales avec un engagement de tous d’aller dans cette direction »

 Indépendamment que la dictature oligarchique de l’Europe prive désormais une stratégie financière libre  pour les États et par conséquent empêche leurs gouvernants de développer leur avenir d’une manière adaptée aux circonstances locales, le « p’tit » Didier reconnaît implicitement que les prochains débats politiques en Belgique vont être très chaud et très mauvais pour les citoyens. 

Chaud, car les querelles sur les montants dus par les régions, les communautés, les provinces (qui n’existent déjà plus dans son esprit) et les pouvoirs locaux pour atteindre le budget à l’équilibre remettra souvent en question les accords pris sur le constitutionnel. Une querelle de chiffonniers défendant leur cassette personnelle !

Mauvais, car quelles que soient les décisions prises, une pluie de restrictions, de taxes et d’impôts va s’abattre sur les citoyens à chaque niveau de pouvoir qui tentera par ces moyens de surnager à un pays en plein naufrage. Le spectre de la Grèce nous guette de plus en plus !
Le 26-01-2012
 


 

 


 




 

 


 




 

Combien de temps encore ???

« Nous n’avons pas dix ans pour redresser l’économie wallonne »,  voilà ce que déclare Thierry Bodson, secrétaire général de l’inter-régionale wallonne de la FGTB  dans une interview accordée au journal Le Soir

Selon l’analyse de son bureau sur  l'accord de la révision de la loi de financement des entités du pays,  la Région wallonne disposera de 300 à 400 millions d'euros en moins qu'escompté à l'horizon 2022. La FGTB évoque même un trou de 2 milliards d'euros en 2032.

D’autre part, André Antoine, ministre wallon du budget, annonce que si la croissance restait en berne en 2012 et était à zéro, il faudrait que la Wallonie et la Fédération Wallonie-Bruxelles trouvent 211 millions d'euros pour limiter le trou dans les budgets.

Il faut avouer que la nouvelle législature part déjà en vrille, ce qui était prévisible compte tenu que, malgré les fanfaronnades des huit partis qui ont signés l’accord, tout a été bâclé pour enfin former le gouvernement fédéral dans une hâte servile afin de satisfaire les demandes du Roi, de l’europe et des marchés financiers.

Mais toutes les difficultés qui vont surgir dans les mois qui suivent ne vont que confirmer ce que je clame avec les régionalistes et les rattachistes depuis des années , le pays est à l’agonie et va finir par sombrer.

Le fédéralisme a transformé ce petit pays naguère prospère en une arène où les combattants sont de force inégale et où, par conséquent, les plus faibles en nombre subiront toujours le sort réservé aux vaincus.

Il serait peut-être temps d’envisager sérieusement le retour à la France pour la Wallonie avant se sombrer dans une anarchie sociale et politique où notre région sera définitivement morte sur l’autel d’un arriviste socialiste qui rêvait d’une reconnaissance nationale !

Le 20-01-2012
 





 


 




 

 Bruxelles - un boulet pour la Wallonie

Interrogé par Fabrice Grofilley de RTL info sur la déclaration de Jean-Claude Marcourt, "La fédération Bruxelles-Wallonie ne correspond plus à rien" , Olivier Maingain répond : «  Il croit qu'il faut larguer Bruxelles, ça c'est évidemment du côté d'un certain nombre de régionalistes wallons, la vieille obsession. Et il faut affaiblir dès lors la fédération Wallonie-Bruxelles. Mais quand donc comprendra-t-on, et c'est pour cela que nous sommes aussi présents en Wallonie, que c'est seul, l'unité de la Wallonie et de Bruxelles qui va permettre de faire le contrepoids au nationalisme flamand et tenir en échec la montée du nationalisme flamand ? ».

Olivier Maingain n’a donc pas compris que la région bruxelloise est gouvernée par une parité franco/flamande et que de ce fait, la fédération Wallonie-Bruxelles représente un nœud gordien qu’il faudra trancher définitivement. Mais Maingain se fout de l’avenir de la Wallonie, il veut, il défend la belgïe où cette pauvre fédération est pour lui la certitude d’un contrepoids aux volontés flamandes.

« Faut-il mourir pour Dantzig ? »  écrivait Marcel Déat député socialiste français en 1939. Pastichant cette interrogation, aujourd’hui j’ai bien envie de demander « La Wallonie doit-elle rester soumise à la Flandre pour sauver Bruxelles ? »

Le 15-01-2012
 










 


 




 






 

Melchior Wathelet pourfendeur de la France

« Le temps ne fait rien à l’affaire, quand on est con on est con » chantait avec conviction Georges Brassens et il avait bien raison.

Le petit par l’intelligence, mais grand par sa masse corporelle de paysan jovial, j’ai nommé, Melchior Wathelet en est la preuve évidente.

« La France a largement dépassé les 80 % de dette et en termes de croissance, a pris des chiffres encore plus optimistes que la Belgique» a déclaré l’ex-secrétaire d’État adjoint à Guy Vanhengel, ministre flamand du Budget dans le gouvernement Van Rompuy .Melchior voit la paille dans l’œil du voisin français sans voir la poutre qui est dans le sien. Car en belgïe, ledéficit atteint pratiquement les 100% de dette.

Dans le classement mondial des nations les plus endettées en 2010, la belgïe se classe 10e avec97,0% du PIB alors que la France se trouve à la 17e place avec 77,00% du PIB. Je sais la situation s’en encore aggravée en 2011 mais il serait étonnant que la France ait rattrapé et dépassé la belgië durant cette année.

Classée 5e ou 6e économie mondiale selon les analyses ,la République avec une population de 66 millions contre 10,5 millions en belgïe, avec 35 ministres contre 60 en belgïe et avec un système social plus redistributif, cette nation à laquelle la principauté de Liège s’était ralliée par un plébiscite lors d’un lors d’une consultation au suffrage universel en 1792 est une toujours une grande puissance sans aucune comparaison avec la petite belgïe.

En 2012, ce Melchior n’est pas un roi mage capable de parler «galette». Rien dans la tête, rien dans le portefeuille du ministère du budget qu’il ne détient plus et auquel il a contribué , et de moins en moins, hélas, dans la poche du citoyen wallon !

Pauvre belgïe Pauvre Wallonie, quand l’on pense que ce godelureau, plus prétentieux qu’élégant, provient de Verviers, cette glorieuse ville dont le bourgmestre, général des volontaires franchimontois, Jean-Joseph de Fyon fut nommé colonel du 2ème régiment d’infanterie le 26 avril 1790, suite à l’ultimatum adressé par l’empire autrichien. !

Le 13-01-2012
 

 


 

 





 

 

 





 







 

Tout va bien… la Belgique n’a pas encore coulé

La presse nous apprend qu’à l'issue du conseil des ministres Olivier Chastel, ministre du Budget a déclaré que le solde de financement 2011 pour la Belgique est estimé à 4 % du PIB. Le programme de stabilité prévoyait -3,6 %, mais c'était sans compter sur la liquidation du Holding communal, les 250 millions que le secteur de l'énergie refuse de payer et les transferts de budgets aux Régions et Communautés.

Mais quoi d’étonnant avec le gouvernement qui était en affaires courantes. Leterme nous rassurait pendant que Reynders, le génie de la finance nationale, assurait les suivis des recettes et des dépenses ?

Il y a longtemps que j’affirme que toutes les déclarations de ces messieurs étaient du vent à destination des citoyens.

Comment peut-on croire plus dans la prévision du budget élaboré pour 2012.

 Les 11,3 milliards proviennent de réductions de dépenses publiques à raison de 42 %, d'impôts nouveaux et de hausses de fiscalité à raison de 34 %, le solde étant constitué d'autres mesures (28 %). Mais déjà, l’on sait qu’il y a un bon milliard de plus à engranger et que la commission européenne à trouver les mesures prises insuffisantes pour atteindre les 2,8 % de déficit prévus.

Il faut dire qu’il y a de quoi avoir des doutes concernant des rentrées sur base de récupération de la fraude fiscale. Elles relèvent du fantasme. Comment peut évaluer une fraude que, par définition, l’on ne connaît pas ? Nos politiques jouent à Madame Soleil en tablant sur ces rentrées incertaines qu’ils chiffrent généreusement.

Mais l’Europe est, nous dit-on satisfaite du gel de dépenses publiques à concurrence d’un milliard trois, et nous disent ces messieurs qui se foutent royalement de nous, cela n’entraînera en rien la situation des citoyens.

Mort de rire, comme disent les internautes !  Le dégel devrait déjà s’annoncer pour la révision en février et le milliard trois manquant est têtu, il faudra bien le trouver quelques part ! Saluons au passage le pauvre ministre Magnette qui a déclaré que la politique économique et budgétaire imposée aux États membres prépare »"une récession de 15 ans » . Mais pour une fois qu’il fait preuve de lucidité il se fait taper sur les doigts par son maître Di Rupo !

Il y en a marre de ces baratineurs qui mentiront comme des enfants jusqu’au bout, jusqu’à la catastrophe finale, une histoire belge à la grecque en quelque sorte  !
Le 11-01-2012
 

 


 

 









 







 

Politique belge ou l’art de la congélation

Dès que la demande de scission de BHV a été exigée par les partis flamands, les politiciens pour éviter la chute du gouvernement suite à ce problème communautaire et peut-être perdre leurs mandats lors des élections qui en découleraient avaient trouvé la solution magique, mettre ce dossier brûlant au frigo. Mais comme tout produit congelé a une date de péremption, les flamands exigèrent la sortie du dossier du frigo, entraînant ainsi la plus longue crise gouvernementale connue dans le monde, soit 541 jours.  Ce qui fut fait lorsque les politiciens francophones abandonnèrent toute résistance, abandonnant ainsi par mal de leurs électeurs dans ces territoires repris par la Flandre !

La dictature européenne exigeant maintenant que le déficit de l’état soit inférieur à 3% et que le budget prévu pour atteindre ce résultat lui soit soumis, les nouveaux ministres, pris par l’urgence et la diversité des options des six partis au pouvoir mirent au point un budget de « bric et de broc » et fièrement annoncèrent le résultat de leur compromis (sion), des économies et des prélèvements fiscaux nouveaux de plus de 11 milliards d’euros. Travail d’apprentis comptables puisqu’ils se basaient sur 0,8% de croissance en 2012 alors que l’Allemagne prévoyait 0,6% et que certains économistes prévoient 0,1% . Moralité, budget rejeté et à corriger dans un délai très court.

Gros embarras de Di Rupo 1er et de ses ministres.  Olivier Chastel, ministre du budget et de la simplification a donc communiqué la stratégie pour répondre au problème, l’on va geler des dépenses jusqu’au moment du prochain contrôle budgétaire .  Et après on verra mais cela n’entraînera aucun sacrifice supplémentaire pour les citoyens. Cet individu fait preuve d’une duplicité mensongère. Il sait très bien comme tous ses collègues qu’il faudra aller chercher l’argent, les quelque un milliards et demi supplémentaire dans la poche des belges.

Mais cette fois, la technique de congélation fera long feu si j’ose m’exprimer ainsi et le dégel des exigences européennes viendra très vite.

Décidément les bonnes vieilles recettes belges sont dépassées comme sa classe politique. Il serait temps de les changer les unes et les autres !

Le 7-01-2012
 

 

 

 

 


 









 







 

Les deux premières gifles

Avec sa suffisance onctueuse de prélat italien, j’ai toujours estimé que ce socialiste wallon avait une tête à claques.

Mais tant qu’il était président de cette nouvelle église devant apporter le bonheur éternel et égalitaire au petit peuple, ses discours enflammés contre les parvenus de son parti, pour l’augmentation des petits salaires, des petites pensions de survie, de l’amélioration des conditions de vie et des soins de santé enchantaient le badaud, toujours prêt à écouter le premier bateleur venu.

Mais il y a loin de la parole aux actes. Son envie irrépressible de devenir le premier ministre à n’importe quel prix l’a mis face à la dure réalité dont la cour servile qu’il s’était soigneusement constituée au sein d’une gauche béate allant des humanistes aux écolos l’avait soigneusement préservé. Il était le président d’un parti socialiste oublieux de l’héritage du Parti Ouvrier Belge et le gourou d’une Wallonie admiratrice de l’éclat de sa verve consolatrice.

Arrivé à son ambition suprême, grâce aux  contorsions morales dont il a le secret, voilà qu’après quelques jours de gouvernement au programme aléatoire,  il a déjà reçu deux gifles magistrales.

La première, c’est d’être avoir été rejeté par ce qui constituait son fonds de commerce, par le biais d’une manifestation très réussie à Bruxelles des trois syndicats nationaux contre la politique d’austérité qu’il veut mener et touchant ce petit peuple qu’il prétendait vouloir protéger.

Le seconde vient d’arriver sous forme d’un ultimatum de la très dictatoriale europe lui déclarant que son plan d’austérité n’était pas assez important et lui lançant un ultimatum pour trouver près de 2 milliards supplémentaires aux plus de 11 milliards prévus dans le budget belge d’ici à lundi prochain.

Quelle désillusion ! Ses promesses qui  marchaient si bien lorsqu’il était à la tête de son parti ne fonctionnent pas à la tête du pays. Ses électeurs se révoltent et voilà que l’europe ne croit pas au spectacle donné par les six partis du gouvernement et à leurs chiffres tronqués (0,8% de croissance alors qu’elle sera probablement proche de zéro cette année, notamment !) et exige une révision du budget proposé.

Et voilà que Di Rupo s’éveillant au milieu des ses rêves brisés découvre les terrifiants pépins de la réalité !

Le 3-01-2012
 

 









 







 

La foi ne suffit pas pour opprimer les nations

Non, nous ne perdons pas la guerre" se disait encore Von Rundstedt en décembre 1944, ou alors il aurait rendu les armes
 Aujourd'hui, Guy verhofstad, le petit flamand enivré par la gloire (toute relative, car qui se soucie de ses déclarations à part les médias?), dans une interview accordée à la RTBF, dit
"Non, je ne doute pas de l'avenir de l'euro" et que " les responsables politiques de l'UE "seront obligés en 2012 de mener des réformes très profondes pour une Union économique, fiscale et politique, en parallèle avec l'Union monétaire"

Tout comme le général allemand, alors que tout semblait perdu pour le 3e Reich pensant  arrêter son écroulement et sa disparition, il croit lui aussi que la bataille pour la survie de l'euro sera gagnée et que l'europe va devenir une seule et grande nation.

 Quand l'on se rend compte des différences entre le nord et le sud de la belgïe en matière linguistique, sociale, économique et culturelle et des drames que celles-ci  créent, comment peut-on croire en cette nouvelle Babylone européenne que ce paltoquet qui a déjà démontré à l'occasion toute sa haine pour la France, prône avec l'accent du désespoir.

 Ce flamand "rabbit" s'use inutilement les dents qu'il a pourtant longues, sur une collaboration totale et une union fusionnelles que les états membres refusent de plus en plus.

Quand se rendra-t-on enfin compte que l'on enlève les quelques dernières miettes de pouvoir que le citoyen avait encore face à des oligarques et des financiers qui se cachent derrière ce que pudiquement nos pseudo-gouvernants appellent "les marchés"

Le 23-11-2011
 

 









 

 

 







 

Le site officiel du RWF le rappelle .

Yves Desmet, rédacteur en chef du quotidien socialiste De Morgen, se moque gentiment du fait que M. Di Rupo a cru faire allégeance à la Flandre en entamant en néerlandais devant un public liégeois (sic) son discours d’hommage aux victimes de la tragédie de la semaine passée.

Que dirait-on en Flandre si un Premier Ministre flamand parlait d’abord en français en Flandre lors d’un événement qui a ému toute une ville, comme l’affaire Kim De Gelder à Dendermonde ? La langue de l’émotion et du recueillement est évidemment celle de la population qui a vécu le drame dans son coeur… Rien n’empêchait M. Di Rupo de dire à la fin de son discours quelques mots en néerlandais, voire en allemand, pour exprimer la solidarité du pays tout entier !

Plus qu’une erreur, il s’agit dans ce cas d’un symbole inquiétant.

Cela fait longtemps que je dénonce avec la plus grande vigueur le côté arriviste de ce personnage et sa capacité à se servir de réseaux d'obligés pour obtenir tout ce qui pourrait contribuer à leur rendre plus puissant et plus reconnu.

Grâce à d'habiles tractations, un soutien de la monarchie devant laquelle il s'incline comme le courtisan, le plus obséquieux et le plus servile.

Je pense me souvenir qu' à l'époque où il fut ministre-président de la Région Wallonne, son papier à lettre mentionnait Royaume de Belgique.

Aujourd'hui, il témoigne de la même servilité vis-à-vis des Flamands, maîtres de son poste, tant désiré, de premier ministre !

Menheer Di Rupo, Premier van Belgïe et dernier des Wallons !

 

Le 14-12-2011
 

 

 

 

 

 

 


 


 

 




 







 

Je suis Liégeois et une profonde tristesse m'a envahie.

La haine à l'état pur d’un Nordine Amrani a frappé de nombreuses et innocentes victimes. Liège, ma ville, celle que j'aime de toute mon âme, a été martyrisée à travers ces malheureux qui se sont trouvés sur la route de cet assassin.

 Aujourd'hui, la Place Saint-Lambert est devenue rouge du sang de ces martyrs, rouge de honte, rouge de colère. Et nul ne pourra oublier cela. Vous, les proches des morts et des blessés, sachez que toute la cité pleure avec vous aujourd’hui  et que son histoire restera tragiquement entachée de cet attentat ignoble, quelle qu’en soit la raison. Que cet ignoble individu brûle en enfer s’il en existe un !

Le glas résonne dans la Cité Ardente
C’est toute une ville qui se lamente
Sur ses blessés et ceux qui ont péri.
Mon cœur pleure et  mon âme aussi.

Ce treize décembre deux mille onze
Devra s’inscrire dans le bronze,
Jour ou l’assassin a frappé
Dans un carnage injustifié.

Car prendre la vie d’innocents
Ou les blesser cruellement
Est crime contre l’humanité
Et ne peut être pardonné.

Tu as supprimé sans émoi
Même un  bébé de dix-huit mois ;
À la balle, à la grenade
Tu a balayé l’esplanade.

Tu as sacrifié à ta haine,
Dans ta folie soudaine,
Mères de famille ou étudiants
De malheureux et pauvres passants .

Lâchement  tu t’es suicidé
Pour ne pas être condamné.
Mais je sais nordine amrani
Que tous les Liégeois t’ont maudit !
Le 4-12-2011
 

 


 

 




 







 

Tout le monde il est beau, tout le monde est compromis

A entendre les commentaires des négociateurs. Tout le monde a gagné. Si tel est le cas, comment est-il possible qu'il leur a fallu autant de temps pour arriver à un accord?

A cela, ils répondent que les points de vue étaient diamétralement opposés par rapport aux attentes de leurs électeurs. Bien mais dans ce cas là, il faut admettre que chacun a cédé sur des points capitaux pour lui puisque jusque là il n'y avait pas trouvé d'accord possible. L'on peut donc en conclure que tout le monde a perdu.

Tout le monde ? Non, pas eux, leurs ministres, leurs députés, leurs cabinets. Ceux qui ont vraiment perdu, ce sont leurs électeurs, trahis par rapport aux promesses que chaque candidat avait faites. Il y a deux questions qui posent maintenant. Combien cela va-t-il coûter au citoyen en emploi, en sécurité sociale, en taxes, en impôts ? Et à quand la prochaine crise gouvernementale ? Laurette Onkelinkx, aussi menteuse que son président négociateur a déclaré que ce ne serait pas de l'austérité mais de la rigueur qui nous attendait.

 Par là même, elle avoue que jusqu'à présent, elle et ses collègues politiciens d'hier, d'avant-hier et des temps passés n'avaient pas eu la rigueur nécessaire pour garder le pays en bonne gestion. Et c'est une vérité ... la dette belge s’élève à  341.530.021.389€, chaque citoyen belge ayant ainsi sur le dos une dette de 30.832 €.

Responsables, mais pas coupables pour reprendre une formule éculée mais qui a toujours son succès chez nos politicards. Mais moi, citoyen lambda, je les accuse de mauvaise gestion et même de trahison permanente entre leurs promesses et leurs compromissions. Et cela devra bien un jour être jugé !

Le 20-11-2011
 

 


 

 

 







 

Aimer Paul-Henry Gendebien oui, le RWF cela dépend !

Il est certain que Paul-Henry Gendebien a toujours été l’idéologue du Rassemblement Wallonie-France et de ce fait est indispensable aux militants du retour à la France. Cela lui a valu jalousie, inimitiés et tentatives de le chasser de son poste de président du parti.

Aujourd’hui, je ne puis que m’étonner du changement qui se fait dans le parti. Le nouveau site officiel établit un lien vers le blogue de Jean-Sébastien Jamart, ce qui ne peut que choquer ceux qui ont une fidélité à PHG. En effet, en 2009, après les résultats peu significatifs des élections , cet individu institua un véritable complot pour destituer le président avec l’aide de la section de Liège, l’obligeant  à modifier les statuts du parti pour empêcher le changement de sa ligne politique.( petit rappel pour ceux qui ont la mémoire courte ).Je sais que la politique  n’est  jamais « propre » et qu’elle se base sur des compromis qui sont des compromissions, j’accepte que chaque rattachiste ait une opinion différente pour atteindre le même but et crée sa propre  « chapelle », mais je ne puis accepter cette réintégration d’un de ceux qui ont été l’âme du complot et, de plus, grand admirateur d’un Jacques  Lenain, obscur Français qui, à la lecture d’un livre de PHG, avait jugé utile de sommer le président de suivre ses réflexions fumeuses sur une Belgique résiduelle devenant une sorte de protectorat français.

Ma position est simple et rejoint celle que PHG a toujours prôné, la Wallonie (et éventuellement Bruxelles) doit devenir Région de France à part entière, après une période de transition obligatoire. Je ne veux pas devenir citoyen français de seconde zone !

Le 25-09-2011
 

 


 

 

 






 

 Un accord sur la loi de financement

« C'est un pas de géant dans la bonne direction. C'est essentiel car il fallait garantir la protection, à la fois de l'état fédéral mais aussi garantir des mécanismes pour les entités francophones. C'était un enjeu important pour le MR, on a travaillé sérieusement avec les collègues francophones sur ce terrain-là et c'est la preuve qu'on a pu renouer le dialogue » Charles Michel.

. »On avait dit qu’il y aurait un accord s’il y avait un refinancement de Bruxelles, maintenant ça y est le nouveau financement de Bruxelles fait l’objet d’un accord complet » Laurette Onkelinx

. « Toutes les balises des francophones sont dedans, personne ne perdre de l’argent, Bruxelles est refinancé, l’autonomie fiscale est cadrée »

Qu’ajouter  à cette autosatisfaction, sinon que les milliers de Francophones de Flandre sont vendus au Flamands, que les Bruxellois sont encerclés par une frontière définitive et que le siège de la cille va commencer et que les Wallons seront encore assistés financièrement pour quelques années selon la bonne volonté flamande. Un marché que Judas n’aurait pas renié, lui qui a vendu le Christ pour 30 deniers d’argent. Décidément, pour nos politiciens francophones, ce sera comme d’habitude le « fric » avant l’honneur et la défense de leurs électeurs !

Le 20-09-2011
 

 

 

 






 

Le MR, bradeur des Francophones, lui aussi

Le bureau élargi et le conseil du MR ont manifesté lundi, à l'unanimité moins une voix, le soutien à l'accord intervenu sur BHV et la réforme du Sénat et ont donné leur appui à Charles Michel pour continuer la négociation.

Ainsi  tous ces libéraux ont rejoint le camp des politiciens du PS, CDH et Ecolo dans la négociation de la honte. La démocratie, la défense des leurs électeurs quoi qu’ils en disent sont bradées à l’envahisseur flamand, déjà maître de l’état fédéral et oppresseur de tout ce qui peut ressembler à un Francophone dans leur belgïe. L’on savait que le rejeton Michel n’avait aucune intelligence politique et tournait sa veste selon les humeurs du moment. Mais que l’ensemble des élus MR le suivent dans cette trahison prouve la médiocrité des ces mandataires d’un parti qui se disait défenseur de la liberté.

Qu’en pense un Daniel Bacquelaine qui déclarait, il y a peu, « Le plus simple serait quand même de demander l’avis des gens, de demander dans les communes à facilités, dans des quartiers de la périphérie bruxelloise quel est l’avis des gens sur leur appartenance à la Région bruxelloise ou à la Région flamande. Il y a là me semble-t-il une revendication strictement démocratique » ?

Le 18-09-2011
 

 

 

 






 

Antoinette Spaak face aux chiens politiques

Dans le débat de ce midi sur  la scission de BHV à la RTBF, Antoinette Spaak a défendu la thèse seule contre tous une opinion largement répandue chez les Bruxellois et les Wallons, l’accord conclu par les 4 partis traditionnels est une trahison des francophones et un attentat à la démocratie.
Tous , De Decker et Nollet notamment,  l’interrompaient constamment  et réfutaient tous ses arguments les plus logiques comme des idiots extrémistes défendant leur foi.

Mais le premier prix  de la suffisance et de la  grossièreté doit être attribuée à Melchior Wathelet, qui avec l’élégance d’un marchand de cochons, l’invectivait littéralement, ignorant le respect que l’on doit à une grande dame, d’un âge certain, d’une carrière politique irréprochable et Ministre d’Etat.

Ce fut en tous cas une belle leçon que de voir tous ces « retourneurs de veste », ces girouettes  politiques, tenter par l’absurde et la négation de prouver que leur reniement des promesses électorales étaient justifiées . Judas expliquant qu’il avait eu raison de trahir le Christ parce que s’il ne l’avait pas fait, la Chrétienté n’aurait jamais existé. Rien n’est encore perdu, fors l’honneur !

Le 14-09-2011
 

 

 


 







 

Munich 2011 – Les politiciens francophones auront la guerre

C’est fait, les négociateurs pour la création du gouvernement sont tombé d’accord. BHV sera scindé, une frontière hermétique va diviser la belgique en deux, condamnant ainsi les francophones des communes dites « à facilités » à l’exode ou à l’asservissement. Seul avantage donné à ces derniers, ils pourront continuer à voter à Bruxelles pour ces "politichiens" qui les auront vendus. Le MR continuera (du moins le croit-il) à renouveler ses mandats électifs grâce à eux. Les députés pourront espérer garder leurs avantages, seul leurs électeurs seront honteusement brimés. Et le fait de pouvoir être jugé dans l’arrondissement judiciaire dans la langue de leur choix n’est pas une avancée, c’est un statu quo (pour combien de temps encore, connaissant l’impérialisme flamand). La responsabilité de ce qui risque de se dérouler  bientôt, l’étouffement de Bruxelles par le boa flamand et sa digestion, de même que l’appauvrissement de la Wallonie devra être portée par Elio Di Rupo, soi-disant socialiste  et si peu Wallon, dirigeant d'un parti tellement éclaboussé par les scandales qu’il est devenu  totalement non crédible.
Mais la palme de la trahison revient à Charles Michel, qui par d’onctueuses paroles, a su faire croire au FDF qu’il ne cèderait pas aux diktats flamands. L’honneur du FDF exigerait désormais de sortir de la coalition. Les mandataires honorables du MR devraient le rejoindre pour montrer qu'il n'accepte pas la trahison de leurs électeurs.. Olivier Maingain aurait-il eu une prémonition en lançant des sections FDF en Wallonie ?

Le 13-09-2011
 

 


 




 






 

Bernard Clerfayt, Vice-président du FDF

« Actuellement les Flamands proposent moins que ce que les francophones de la périphérie ont comme droits. Il ne faut pas qu'ils soient les cocus de la Belgique en laquelle ils ont cru ».

Décidément, il n’a a que le FDF qui se rappelle encore que la Belgique a été un état unitaire dans lequel chaque citoyen pouvait s’installer librement sans devoir changer de culture et de langue. La Région flamande de l’état fédéral qui l’a remplacé n’a eu de cesse de se battre pour son autonomie et la purification de sa culture. L’on peut se rendre compte que BHV scindé, la frontière de Flandre sera définitive et que débuteront ainsi l’exode provoqué des Francophones de son territoire et le siège de Bruxelles. 

Et quand Melchior Wathelet, nouveau Chamberlain partisan d’un écrasement face aux diktats des Flamands répond  « On accepte que les francophones de la périphérie perdent certains droits si on sait qu'ils en obtiennent d'autres », c’est le comble de l’ignominie. Comme s’il ignorait que le droit d’être Francophones en Flandre sera remplacé par l’acceptation du droit de se taire ou de partir !

La pureté linguistique exigée rappelle des tristes souvenirs !

Le 11-09-2011
 




 






 

Olivier Maingain voit juste et cela dérange

« Je ne veux pas d'un accord au rabais … La scission de BHV, si on la laisse faire comme le voudraient les partis flamands, prépare la scission de la Belgique …. (Herman Van Rompuy- ndlr) a pédalé avec  les fanatiques du nationalisme flamand autour de Bruxelles. Etait-ce la place du président du Conseil européen d'aller se fourvoyer avec des gens qui défendent des thèses nationalistes, contraires à l'idéal européen ? … C'est un grand sportif du nationalisme flamand ! »

Comme toujours, le brave Olivier dit des vérités qui dérangent. Je crois que la scission de BHV car des ce moment Bruxelles sera encerclée et phagocytée par la Flandre, la frontière administrative devenant la frontière reconnue sinon d’un état indépendant au moins celle d’une région qui veut une autonomie totale. Quant à Van Rompuy, quoi de plus normal que ce flamingant, membre de l’association pan-néerlandaise "Orde van den Prince", se retrouve au Gordel, encerclement sportif et politique de la capitale. L’on peut se demander où est le fameux plan B de Di Rupo ? Celui qui devait faire reculer les Flamands. Du vent comme d’habitude. Maingain, lui au moins, essaie de le changer en tempête !

Le 09-09-2011
 




 







 

Olivier Maingain dénonce  à juste titre

« (Les Flamands –ndlr)  sont une nouvelle fois en train de tricher…la négociation est plus hypocrite depuis que la N-VA n'est plus à la table … le CD&V veut les avantages du séparatisme sans tous les inconvénients .. (il demande aux politiciens francophones –ndlr) « d'arrêter le massacre … le projet d'étouffement de Bruxelles par les partis flamands ».      

Ce rare défenseur des francophones sur l’échiquier belge met le doigt sur ce que nous dénonçons depuis longtemps. Les avantages du séparatisme sans les inconvénients pour les Flamands, c’est la mainmise par une régionalisation accrue sur un état fédéral où ils sont déjà majoritaires, l’encerclement puis l’étouffement  de Bruxelles devenue non limitrophe à la Wallonie et enfin la gestion d’une Wallonie comme marché captif et dépendant.

Si les partis politiques francophones (plus aucun n’ose s’affirmer Wallons), cèdent, c’est le CD&V qui retirera la gloire politique et électorale en Flandre. Si elle rate son coup, alors, ce sera le triomphe de la N-VA. Mais quand va-t-on parler enfin de scission et du rapprochement à la France ? Hélas, Maingain défend l’idée d’un belgique fédérale juste et démocratique , ce qui ne pourra jamais exister, alors qu’il devrait, lui aussi, regarder vers Paris !!!

Le 05-09-2011
 




 







 

Benoit Lutgens, nouveau président du CDH

"Ce que j'ai comme ambition pour l'ensemble de ma formation politique et surtout par rapport à ma vision de la société,c'est de faire en sorte d'avoir un centre très, très fort c'est de faire en sorte d'avoir un centre très très fort. Et donc de rassembler un maximum de personnes, de membres, mais aussi d'électeurs pour peser politiquement demain dans les décisions".

Le centre nous dit-on est un point géométrique situé à égale distance de tous les points d’un cercle ou d’une sphère.  L’on peut en déduire que, dès que le curseur se déplace un tant soit peu vers la gauche ou vers la droite, il n’est déjà plus au centre. Le nouveau président du CDH veut donc un parti mi-chair/mi-poisson, une parti tiède aux attitudes molles. Evidemment, c’est une évolution par rapport à Dame Milquet qui conduisait à gauche toute pour le plus grand plaisir de son compagnon platonique, le bel Elio, celui pour lequel elle a dit non pendant de longs mois à la coalition orange bleue afin de l’obliger à accepter le PS, pourtant défait aux élection de 2007. L’ancien PSC n’était pas au centre, mais réunissait tous les courants de pensée de l’électorat chrétien. Certains le regretteront, mais le brave Benoit avait-il d’autres choix en fonction du parti en déconfiture dont il a hérité ! 

Le 02-09-2011
 


 










 

 

 

Quand Joëlle Milquet allie vantardise et culot

« Je suis fière d'avoir ouvert les équipes de l’ancien PSC, de les avoir féminisées, rajeunies et diversifiées dans leurs origines. Surtout, d’avoir permis de sauver le parti. Il n’y a plus aucun parti démocrate-chrétien en Europe. Ils se sont tous fondus dans des masses de droite conservatrice ou autres. Nous, on a pu justement sauver des valeurs qui sont universelles et révolutionnaires ».

Sauvé le prti ? Vite dit. Les résultats électoraux montrent plutôt qu’elle a enterré le parti chrétien qui s’ouvrait sur une vaste panoplie de courants, allant du droitier CEPIC ( actif de 1972 à 1982 avec le soutien dès ses débuts du président Charles-Ferdinand Nothomb. Dirigé par Paul Vanden Boeynants qui en deviendra son président en 1977, le baron Benoît de Bonvoisin, Jean-Paul Grafé, José Dessertes, feu Jean Breydel, Cécile Goor, Joseph Michel, Paul Vankerkhoven et bien d'autres.) à la très gauchiste démocratie chrétienne.

Ce fut un parti très souvent au pouvoir et autonome. Aujourd'hui, il est devenu un électorat réduit à peau de chagrin sous la présidence de l’égocentrique Milquet qui abandonna les racines chrétiennes au profit d’un humanisme pour tenter de récupérer les voix des musulmans et des athées. Pas de chance, le PS était mieux placé pour les conquérir, transformant ainsi la présidente en « suceuse » de roue d’Elio Di Rupo. Mais la copie ne remplacera jamais l’original.

Le CDH est donc devenu un parti captif du PS, ni universel et encore moins révolutionnaire, juste un « attrape-gogos » pour les naïfs !   

Le 30-08-2011
 


 










 

 

Olivier Maingain, trouble-fête d’une reddition annoncée ?

« Quand on parle de Bruxelles, ce sont les Bruxellois qui sont les mieux placés pour être les porte-parole (...) Je ne m'impose en rien mais il (Elio Di Rupo- NDLR) sait qui sont les personnalités qui, pour Bruxelles, sont en mesure d'engager des décisions essentielles. La démocratie a voulu que je sois le parlementaire le mieux élu dans Bruxelles-Hal-Vilvorde. Il me semble que cela a une certaine signification politique … J'ai toujours dit que si on nous représentait l'accord de 2005, il y a là une base pour former un accord très rapidement. Comme quoi, j'ouvre beaucoup de portes (..) mais j'entends que la Flandre voudrait se faire livrer une Ferrari qu'elle voudrait payer au prix d'une Skoda »

Les négociateurs flamands d’une capitulation sans condition et les francophones serviles semblent s’entendre dans le plus grand secret pour dépecer l’état fédéral au profit d’une Flandre souveraine. Ils jouent l’omerta trahissant ainsi le rapport au peuple qu’ils sont censés représenter. Il est évident à entendre les cris d’orfraie que la présence du seul politique défendant encore ses électeurs viendrait troubler leur entente malsaine. Car former un gouvernement n’est pas la tâche première d’un élu, mais bien celle  de défendre avant tout, bec et ongles, ceux qui l’ont choisi.

Olivier Maingain est de ceux-là. Je ne suis pas un des ses partisans mais je lui tire mon chapeau et lui dit de continuer, mais le fiston Michel, président de sa coalition, va-t-il exiger sa présence aux dites négociations, quitte à en être éjecté lui aussi ?

Le 28-08-2011
 


 










 

 

Rudy Demotte, le Calimero socialiste

 « Ne comparons pas la situation de la Flandre et de la Wallonie …La Flandre a bénéficié de refinancements dont elle n'avait pas besoin, et qu'elle a utilisés pour rembourser sa dette. Nous avons utilisé ces moyens pour mener des politiques, et on voit que ça porte ses fruits au niveau de l'emploi, de la création de valeurs »

 Le ministre-président semble ignorer les affirmations de Willy Borsus, déjà faites en décembre 2009 sur l'endettement réel de la Région wallonne qui dépasserait les 11,5 milliards d'euros au lieu des 4,4 milliards,  chiffre officiel de cette année-là. Il semble que malgré les dénégations de ce président "rase-mottes" soient infirmées par l’Echo qui dénonce dans son édition du 20 août dernier que « la dette cachée de la Wallonie dépasse les 4 milliards. »

 Les fruits de la gestion PS-CDH et Ecolo dont parle le président, ne sont certainement pas l’amélioration de l’état de nos routes, de nos bâtiments scolaires notamment qui ont été négligés pendant de nombreuses années au point que l’on doive emprunter 600 millions  pour tenter de restaurer quelques tronçons de voiries. Toujours la même chanson ! C’est trop injuste

Quand on sait qu’en Flandre, l’on ne paie plus de taxes TV, que les droits de succession sont inférieurs et que les contribuables ont même bénéficié d’un remboursement de contributions, l’on peut demander à ce gestionnaire de pacotille où se trouve la bonne gestion !

Le 27-08-2011
 

 










 

 

Wouter Beke joue la vie du CD&V au poker

« La démocratie chrétienne n'est pas morte, comme le démontrent les 1.800 à 2.000 personnes présentes ce jour …En 2006, c'est nous qui avons remporté les élections communales dans la plupart des communes, sans cartel. Et en 2009, nous avons à nouveau gagné les élections (régionales flamandes) avec Kris Peeters en figure de proue, sans cartel. Nous le ferons encore aux élections communales de 2012 … Celui qui défend cette position (Le N-VA selon lequel aucun accord ne serait plus possible en Belgique - NDLR ). s'enferme dans une pièce à deux issues: le statu quo, où l'on reste à la rue en abandonnant toute ambition de réformer l'Etat, ou bien le marteau de démolition »

Le président de ce parti tente sa chance de remporter les élections communales de 2012 en dépassant la N-VA qui a décidé de jouer cavalier seul pour l’occasion. Il gagnera s’il parvient à gagner la scission de BHV ou perdra s’il échoue, c’est évident. Il va donc mettre la pression maximum pour mettre les francophones complètement « KO ». Il pense avoir une possibilité probable de réussite face à un Di Rupo et à ses acolytes, prêts à la capitulation sans conditions pour sauver « leur » Belgique, même si elle doit devenir complètement  « Belgïe ».

Il ne faut pas se tromper, le petit Wouter est aussi nationaliste Flamand que Bart De Wever, De Croo, De Winter, De Decker, Gennez ou autre Van Besien  !

Le 22-08-2011
 

 










 

 

Daniel Bacquelaine MR, la raison même

« Le plus simple serait quand même de demander l'avis des gens, de demander dans les communes à facilités, dans des quartiers de la périphérie bruxelloise quel est l'avis des gens sur leur appartenance à la Région bruxelloise ou à la Région flamande. Il y a là me semble-t-il une revendication strictement démocratique »

Dans son interview accordée à Bel-RTL, le chef du groupe parlementaire MR énonce une lapalissade. C’est une réflexion évidente. Le problème, c’est que l’évidence démocratique n’est pas accessible à nos dominateurs flamands. Une nation qui se crée marche allégrement sur la liberté de choix de ses habitants. Dans le passé, ils ont déjà refusé le recensement linguistique, ce n’est pas aujourd’hui qu’ils vont accepter l’idée qu’un morceau de leur territoire puisse se délivrer de leurs griffes.

Ils veulent donc la scission de BHV pour avoir une frontière définitive dans un premier temps et dans un deuxième temps pouvoir pratiquer le nettoyage linguistique, faisant émigrer les « franse ratten » qui résistent et convertissant les autres à la Kulture de Vondel.

Quant à Bruxelles, combien de temps sera-t-elle encore une région indépendante, elle qui est déjà devenue capitale de la Flandre sans consultation de ses citoyens et dont les taxis seront obligés de porter dès le 1er septembre les couleurs flamandes par la décision de la ministre bruxelloise flamingante Brigitte Grouwels.

Le 21-08-2011
 

 










 

 

Marcel Cheron, imbuvable écolo wallon

« Le terrain (de négociation), c'est la note du formateur (le président du PS Elio Di Rupo, ndlr). Attention! J'entends Olivier Maingain poser ses 'conditions' à la scission de BHV et parler de choses qui ne figurent pas dans la note... Aller rechercher des points imbuvables comme il l'a fait! »

Ce personnage qui semble imbu de sa personne et de son mandat de sénateur, pontifie sur l’attitude d’Olivier Maingain et oublie ses électeurs wallons qui vont passer sous la tondeuse économique et sociale qu’exigent les Flamands, tout comme Di Rupo, Milquet, Javaux son président et Michel l’insignifiant.

Il faut "ne pas changer de terrain en cours de match" ; ose-t-il affirmer. J’entends ce commentaire, le 18 juin 1940 qui aurait pu être opposé à l’appel de Charles De Gaulle. Car la vérité est bien là. Ces partis qui n’étaient demandeurs de rien, estimant avoir déjà trop lâché lors des différents accords, demandent maintenant  la réforme de l’état à n’importe quel prix, c’est à dire celui fixé par les Flamands avec quelques petites ristournes symboliques pour faire passer la pilule amère chez les Wallons. Ce sont les partis de la défaite. Et quand une voix solitaire s’élève pour rappeler les exigences minimum francophones sur lesquelles ils étaient tous d’accord, ils tentent de lui imposer le silence. Ils ressemblent tous aux Bourgeois de Calais, sauf qu’il n’y aura aucune mansuétude de la part du vainqueur !
Le 19-08-2011
 

 






 


 

 

Joëlle Milquet, la poupée qui fait non et dit oui

« Si on n'a pas d'accord, qu'aura gagné le FDF ? J'adore, moi, les grandes déclarations... Mais quoi, pour échouer ? Les éléments dont il parle sont-ils sur la table ? Non. Et on aura en plus un risque d'explosion du pays. C'est comme ça que l'on défend les francophones ?Il y a des droits à consolider dans les six communes (à facilités), au niveau judiciaire, électoral, il y a un concept de communauté métropolitaine qui peut s'avérer fondamental en termes de désenclavement de Bruxelles... Voilà des avancées possibles »

Les propos de cette politicienne minable mais autoritaire révèlent à quel degré de compromission elle peut arriver. Les éléments qui ne sont pas sur la table avaient été acceptés par elle comme revendication en cas de scission de BHV. Mais puisque le serviteur des Flamands, Elio Di Rupo, ne les y met pas, donc pas question de les soulever. Le risque d’explosion du pays ? Mais BHV est encore le seul ciment de l’unité nationale. Les droits à consolider dans les communes à facilités ? Mais lorsque l’on voit comment les Flamands respectent les accords antérieurs !!!! Une communauté métropolitaine ? Ce que les économistes appellent l’hinterland  d »’une métropole ne sera valable qu’avec la région dont la frontière administrative est limitrophe, la Flandre. Je ne pense pas qu’elle soit idiote. Elle sait qu’elle trahit les intérêts de Bruxelles et de la Wallonie. Elle, tout comme son mentor montois, ne cherche qu’une chose garder un poste d’influence avec tous les avantages qui en découle !

Le 18-08-2011
 

 






 


 

 

Olivier Maingain persiste et signe

« A cette époque (1960-NDLR) on a fixé une frontière linguistique sans consulter la population et sans majorité francophone au Parlement. On a alors garanti deux choses/ les facilités pour les francophones de la périphérie, et on voit ce qu’il en est aujourd’hui. Autre garantie, l’arrondissement de Bruxelles-Halla-Vilvorde. Aujourd’hui la Flandre conteste ces deux notions. Nous estimons donc être en droit de remettre en cause la frontière linguistique.. Les risque, en cas de scission, est d’enfermer Bruxelles en Flandre. Cela concerne aussi la Wallonie qui pourrait voir son rapport à Bruxelles changer radicalement … Le nationalisme flamand est présent dans tous les partis du pays. Il devient évident que le projet institutionnel est d’aller vers de plus en plus d’autonomie avec une appropriation de Bruxelles »

Est-il nécessaire de souligner la justesse des propos d’Olivier Maingain ? Et Charles Michel reste curieusement silencieux sur ces rappels pourtant préalable à toute discussion. Mais l’inénarrable Armand De Decker a déclaré au journal Le Soir La Flandre veut scinder BHV pour arrêter la tâche d'huile francophone au-delà des six communes à facilités. Je crois qu'il sera toujours possible dans dix ans d'élargir Bruxelles à ces six communes parce que la réalité démographique sera là: elles seront à 90% francophones ".Cet individu sait très bien que jamais les Flamands n’acceptent un retour en arrière. Il tente donc de justifier ce que son président a l’intention de faire. Pauvres électeurs du MR, aussi cocus que ceux du PS et du CDH.

Le 17-08-2011
 

 

 






 


 

 

Olivier Maingain, président du FDF

« Si nous considérons les seules propositions du formateur comme base de négociation, nous pouvons tout aussi bien ne pas nous asseoir à la table … . Nous allons non seulement déposer des amendements sur les propositions actuelles, mais aussi formuler nos propres propositions ».

Charles Michel, président du MR

« Il faudra un accord global sur la réforme de l'Etat comme sur les questions socio-économique.. ceux qui croient que c'est seulement d'un côté de la frontière que l'on fera des concessions rêvent en couleur! « 

Ils font partie de la même coalition pour négocier.  Mais si le premier semble ne pas accepter l’encerclement définitif de Bruxelles par une frontière linguistique devenant frontière d’état, le second est prêt à avaliser ce fait, pour autant que le socio-économique soit abordé et amendé. L’éternelle trahison pour un plat de lentilles, ce qui a déjà conduit le pays à une domination flamande de plus en plus nationaliste et oppressante.

De ces accords, les Wallons ne veulent nullement. Les partis francophones ont oublié qu’ils n’étaient demandeurs de rien pour aujourd’hui offrir tout à Moeder Vlaanderen. Olivier Maingain sauvera-t-il l’honneur du FDF. Le MR oublions-le, il est prêt à recevoir les 30 deniers de Juda !

Le 16-08-2011
 

 

 








 


 

 

Didier Reynders, ancien président du MR

« Il y a maintenant 20 ans que cette formation politique est constituée de cette façon-là. Ce n’est pas un avatar de l’histoire comme les cartels successifs et les déchirures entre le CD&V et la N-VA. Nous c’est vraiment un engagement profond, de Wallons, de Bruxellois, de francophones, à travers une fédération ».

Il faut reconnaître que Didier est explicite dans ces déclarations, ce qui l'a amené à des déconvenues cruelles dans son parti et aussi dans son électorat, mais qui témoigne d’un certain panache.

Quel différence avec son successeur, le fils au papa Michel, qui lui répond ) à la presse,
 « Nous ne sommes pas un cartel de circonstance…. (Le MR et le FDF) « analyseront ensemble, à chaque étape, dans quelle mesure la négociation correspond à notre conception de l'intérêt général, à notre souci d'une réforme de l'Etat stabilisatrice pour le pays, et correspond à nos balises »,

La langue de bois « façon familiale » ! Ils analyseront ensemble soit, mais la conclusion restera axée sur l’intérêt général. Je crains fort que celui-ci ne rejoigne pas l’intérêt particulier des Bruxellois et des habitants des communes flamandes habitées par une majorité de francophones.

Didier affirme une fidélité à une alliance, Charles affirme une adaptation raisonnable pour autant qu’elle corresponde à leurs balises..Mais les balises de Michel sont-elles les mêmes que celles d’Olivier Maingain ?

Le 12-08-2011
 

 

 








 


 

 

Steven Vanackere, ministre fédéral CD&V

« une négociation ne peut réussir que lorsque les deux extrêmes sont absents … C'est effectivement Olivier Maingain (FDF) qui est pointé du doigt ici. Il faut savoir si les partis francophones auront assez de courage pour se distancier de plusieurs thèses de Maingain. L'élargissement de Bruxelles? C'est intéressant pour les congrès et les livres scientifiques. Sur le plan des négociations, c'est ridicule. Et ce n'est pas sérieux … Il faut trancher ce nœud gordien qu'est BHV, sinon ce pays va sombrer »,

Ce Flamand, « bon chic-bon genre » du gouvernement fédéral démissionnaire, suit le même chemin que la N-VA ou que le Vlaams Belang. En effet, le nœud gordien, comme il le dit lui-même, c’est la scission de BHV, Une fois faite, la frontière de la Flandre sera définitivement fixée et sans contestation possible même au niveau international en cas d’éclatement de la Belgique. Après, la Région Bruxelloise sera définitivement encerclée et assiégée et les réformes économiques que veut la Flandre se feront plus facilement en larguant la solidarité envers la Wallonie.

Le PS est prêt à nous vendre puisque Di Rupo est prêt à s'incliner devant les ukases nationalistes flamandes dans son délire de devenir le 1er ministre de Belgique et que Serge Moureaux son acolyte déclare « Mais reconnaissons que quand le CD&V dit qu'il faut résoudre BHV avant toute chose parce que c'est ce dossier qui a fait tomber le gouvernement, il (Beke) a raison ». La Belgique est décédée en 1970 et le peuple belgicain croit encore qu’il s’agit de soins intensifs pour la sauver, alors que les politiciens actuels règlent en silence et en toute complicité les détails de l’inhumation .

Le 7-08-2011







 


 

 

Wouter Beke, président du CD&V

« D’abord BHV, ensuite le budget, sinon, ce sera sans nous …Un accord est un accord. J’exige que chacun s’y tienne. Il ne faut pas me convaincre que la situation financière est grave, mais concernant les négociations gouvernementales, la priorité est claire: d’abord BHV… A la mi-juillet, les autres négociateurs n’ont-ils pas déclaré qu’on se trouvait sur une ébauche d’accord concernant BHV? Eh bien, pressons sur cette ébauche. S’ils le pensaient sérieusement, ce ne sera plus une question de mois ou semaines avant un accord sur la scission, mais une question de jours… Je ne vais pas accepter qu’Elio Di Rupo commence une table de négociations parallèle. S’il le souhaite malgré tout, alors la plupart des sept partis seront dans la file d’attente. Le 8ème, le CD&V, n'attendra pas »

Le nouveau comparse de la future coalition gouvermentale Dirupienne veut bien jouer le jeu, mais à condition que la frontière administrative flamande soit définitivement fixée par la scission de BHV. Bart Dewever n’aurait pas fait mieux. Mais on le sait désormais, un Flamand est un Flamand et tous œuvrent pour ce qu’ils considèrent, non plus comme une entité fédérale, mais comme une nation. Pauvre Wallonie accrochée aux lambeaux d’une belgique en perdition.

Le 4-08-2011




 


 

 

 

 

Philippe Muyters, ministre des Finances de Flandre

« Si le gouvernement fédéral demandait à la Flandre de produire un nouvel effort financier, ma réponse serait clairement non. » Il n’et pas question de « donner une nouvelle fois des centimes supplémentaires pour des régions qui n'ont rien mis de côté au cours des deux dernières années. Si les partenaires du gouvernement flamand ne le perçoivent pas comme cela, ils devront me mettre dehors Il est temps à présent de récolter pour consacrer les moyens supplémentaires aux besoins de la Flandre » Il continuera à s’opposer à ce que « le Flamand qui travaille dur paie des impôts supplémentaires. Pourquoi Bruxelles et la Wallonie n'ont pas de budget en équilibre cette année? Parce qu'elles avaient fait un autre choix en 2009 ».

Comment un Di Rupo peut-il vouloir sauver à tout prix une Belgique où le région la plus riche refuse même de soutenir l'état fédéral auquel il appartient ? Les propos sont clairs, ils manifestent un égoïsme total. Que ces propos éclairent enfin les Wallons et Bruxellois qu'il n'y a que deux options possibles pour l'avenir, une belgïe complètement dépendante de la Flandre ou  l'éclatement du pays.
Il faut cesser de vivre dans le mirage de la belgique de papa, elle est morte en 1970
..

Le 29-07-2011




 

 

 

 

Bruno Tobback, sournois comme un Flamand 

"Bruxelles est la capitale du pays et si ce pays est la Belgique, elle est connectée avec tout le monde et je ne vois pas la nécessité d'un lien territorial… Parler de la nécessité d'un lien territorial, c'est parler en terme de scission du pays. M. Maingain raisonne comme cela. Moi pas"

Comme le souligne Olivier Maingain et le professeur Berhendt le disait lors du débat tenu à l’université de Hout-si-Plou « BHV est comme le « diamant » des francophones. Si cette scission était faite sans contrepartie, elle changerait définitivement la frontière linguistique en frontière d’état.  C’est pourquoi l la Flandre devient de plus en plus pressante. » Pour ma part, la constatation est simple Bruxelles revendiquée comme capitale de la Flandre serait asphyxiée économiquement n’aurait comme extension de son hinterland économique que la Flandre. Olivier Maingain bruxellois et belgicain fait preuve d’une certaine logique. Tobback,, lui, montre le double langage de la Flandre qui crie à l’autonomie des régions, supprimant ainsi toute solidarité nationale. Il croit certainement à une belgïe flamande où la Wallonie serait définitivement colonisée !

Le 28-07-2011




 

 

 

 

 


 

Milquet, Sœur Sourire du CDH

« Je ne peux pas imaginer ce qu'il se passera si nous échouons. Mais nous allons réussir. Nous y sommes condamnés. … Les huit partis qui sont maintenant autour de la table veulent tous une profonde réforme de l'Etat, mais qui reste dans un contexte belge, avec un avenir pour le pays. Il est beaucoup plus facile pour les francophones de négocier dans ces conditions. »

 Le CDH, autrefois Parti Social Chrétien aujourd’hui humaniste, a néanmoins conservé la foi qui caractérise la religiosité. Alors que les analystes les plus lucides disent que tout reste  à faire pour un accord sur la formation d’un gouvernement avec des divergences énormes entre les futurs partenaires, elle  affiche sa foi. Mais quelle foi !!!! Celle d’une armée en déroute qui capitule sans condition, Celle du torturé qui accepte d’avouer des méfaits imaginaires pour que cesse la douleur, celle de l’employée qui accepte de subir les outrages du patron pour garder encore un peu sa situation. La nouvelle Sœur Sourire francophone reprend pour nous une version nouvelle du Crédo de Mireille Mathieu. Mais il vrai que la vie politique belge ressemble de plus en plus à du mauvais music-hall !

 « Oui je crois qu'on peut bâtir la Belgïe avec des mots d'amour
Oui je crois, que nous ferons ce pays à nous huit chaque jour
Oui je crois, qu'il nous faudra mêler nos larmes et nos joies
Mais je crois, que j'aimerai la vie si elle continue  avec toi
 »
Le 22-07-2011



 



 

 

 

 


 

Joëlle Milquet  presqu’à l’orgasme

"Maintenant enfin pour la première fois, ce qui est historique, on peut entamer officiellement à huit des discussions. Et ça c’est le pas de géant qui a été franchi cette nuit du 21 juillet. Comme quoi parfois la fête nationale peut aider. Mais ça reste fragile, donc je crois que chacun doit se garder de tenir des propos matamoresques."

Mais sans doute que les trois autres présidents de parti la rejoignent dans cette euphorie d’un message tombé des cieux laekenois, partagent la même euphorie, d’autant plus que Sa Majesté leur a offert un repos salvateur jusqu’à la mi-août.

Bizarre que pour une situation d’urgence, le souverain ait jugé brusquement que 3 semaines de repos seraient favorables au pays. Le CD&V , parti traditionnel de l’Eglise et du Trône, aurait-il consenti à une réunion qui donnait un éclat particulier au message du roi et la la fête nationale ? Un beau rôle à présenter aux électeurs flamands si tout capote à la rentrée ? Nous avons essayé de dialoguer avec les francophones, mais ce n’est pas possible. Nous avons été plus loin que la N-VA en acceptant un dernier essai, mais nous sommes restés de bons et loyaux Flamands défendant les accords Octopus votés au Parlement flamand en 1999.

Le 20-07-2011




 

 

 

 

 

 

 


 


 


 

Marine Lepen  (candidate à la présidentielle 2012))

« Si la Belgique venait à éclater, si la Flandre prenait son indépendance, hypothèse de plus en plus crédible, la République française s’honorerait d’accueillir en son sein la Wallonie. Les liens historiques et fraternels qui unissent nos deux peuples sont trop forts pour que la France abandonne la Wallonie. »

Mais elle n'est pas la première a avoir cette prise de conscience.

« On a compris que je suis un « rattachiste », comme on dit. Si les Flamands s’en vont, si la Belgique « s’évapore », alors que les Wallons viennent avec nous. Ce serait la conclusion d’une pente prise il y a des siècles et maintenue sans désemparer dans les sentiments populaires des Wallons comme des Français »
Jean luc Melenchon (candidat à la présidentielle 2012)  sur son blogue


« Face à la situation de décomposition de la Belgique, il faut que la France se tienne effectivement prête à accueillir les Wallons, s'ils le désirent. Il ne s'agit pas pour moi de déstabiliser la Belgique ou de prôner la désunion. Il appartient aux Wallons de choisir leur avenir, par la forme qu'ils jugent nécessaire. Mais, dans le même temps, au nom de la communauté d'esprit entre Wallons et Français, notre pays doit leur envoyer un signal et doit envisager une forme d'autonomie de la Wallonie, de partenariat, voire, pourquoi pas, de rattachement à la France. »
Nicolas Dupont-Aignan (
(candidat à la présidentielle 2012)   interview à le JDD.fr

« si le programme d'évaporation de M. Bart de Wever devait entrer en application, les Wallons doivent savoir qu'une majorité sans cesse croissante de Français accepterait, si bien sûr eux-mêmes le décidaient, de les accueillir au sein de la République française ».
Jean-Pierre Chevènement  
(éventuel candidat à la présidentielle 2012)  à 7SUR7

«  La France ne fera pas l'économie d'élaborer une politique à l'égard de la Belgique. La question du rattachement de la Wallonie et de Bruxelles se pose à terme, qu'on le veuille ou non »
Jacques Myard (député UMP et
président
du Cercle Nation et République) à La Libre Belgique

Qui dit que la France oublie ses enfants wallons !

Le 13-07-2011





 


 


 

Jean-Maurice Dehousse, vrai Liégeois, vrai Wallon

« Le susdit Ministre-Président de la Région wallonne vient de proférer ce que par pure politesse, on appellera une ânerie monumentale, qui lui vaudrait d'être busé dans n'importe quelle université digne de ce nom »

Déclaration faite à propos de la déclaration de Rudy Demotte, qui a déclaré que l’idée de la nation était dépassée et datait du XIXe siècle.

Comment ne pas comprendre le sobriquet  de « Rase-mottes » que l’on a attribué à ce président empli de fatuité et sans réelle intelligence politique ?

Que l’on ait aimé ou non Jean-Maurice Dehousse, premier ministre-président de la nouvelle Région Wallonne, il faut bien reconnaître qu’il avait une autre envergure que ce successeur falot, imbu de sa personne et inutile à la Wallonie !

Le 12-07-2011





 


 


 

Didier Reynders, anesthésiste politique et financier

« C’est fatigant d’entendre des économistes belges attirer l’attention sur notre situation. Hier, la France et les Pays-Bas ont aussi été mis sous pression. C’est l’ensemble de la zone euro qui doit réagir »

Dans le fond, ce soi-disant brillant ministre des finances d’un gouvernement en affaires courantes, rejoint la cohorte de ses collègues politiques francophones endormis béatement..

Il y a le feu à la maison. Cela n’est rien, tant que ses occupants l’ignorent ! Ainsi, ils périssent sans avoir eu peur et les pompiers -ont eu la paix. Cela rappelle la vieille chanson de « Tout va très bien, Madame la Marquise ». Je veux que vous soyez tous virés, a dit Nigel Farage au parlement européen en soulignant le manque de réalisme des députés. Il est dommage que le seul qui ose dire que tout est en train de très mal tourner, soit un Bart De Wever. La belgïe est ainsi faite et c’est désastreux !

Le 11-07-2011






 


 


 

Bart De Wever, le tribun de Flandre

«  C'est une nation, monsieur. C'est un peuple, une Communauté, une démocratie. On a un territoire, une histoire et des valeurs communes. C'est donc une nation … Si un large consensus existe à ce sujet en Flandre, ce n'est pas le cas au niveau fédéral depuis de nombreuses années …. La plupart des partis francophones ont le droit de penser que l'on peut poursuivre sans pratiquer des réformes profondes, mais ils n'ont pas le droit de penser imposer ce statu quo à la majorité flamande et dès lors, les deux parties du pays doivent pouvoir mener une politique propre basée sur leur propre responsabilitéla Flandre ne veut plus patauger dans la boue à cause de la tiédeur francophone »

Si après cela, le socialo-gogo et sa bande de joyeux comparses politiques francophones n’ont pas encore compris qu’en tentant de sauver la belgïe, ils trahissent les Wallons comme de vulgaires "Chamberlain" qui revenant de Munich déclarait que la paix était sauvée !

Le 09-07-2011








 


 

Di Rupo, formateur du gouvernement en déroute

Selon lui, sa note peut  "servir à sortir de la crise mais également servir de base pour l'avenir"

Il a osé déclarer, alors que sa note était une capitulation sans conditions aux diktats flamands,  "J'ai veillé à proposer une réforme de l'Etat qui stabilise le pays, et pas une réforme de l'Etat qui favorise l'indépendance de la Flandre".

Gêné, il a éludé la question du journaliste sur le fameux « « Plan B » dont il avait menacé les flamands, révélant ainsi son manque de prévoyance et ce combativité pour l’avenir de la Wallonie et de Bruxelles.

Le personnage se révèle dans toute sa volonté de réussite personnelle aux dépens des francophones de belgïe et oubliant les grandes promesses socialistes de ne pas toucher à la solidarité entre belges. Un social-traître, diront de lui les vrais socialistes, ceux pour qui j’ai du respect !

Le 06-07-2011







 


 

Bart De Wever, président de la N-VA

"Je ne crois pas en cette note. Je ne crois pas au projet du formateur. C'est une mauvaise proposition, pour tous les citoyens de ce pays". Les réformes économiques "ne sont pas en ligne avec les recommandations de l'Union européenne ou de l'OCDE et provoqueraient un tsunami de hausse d'impôts". La note de Di Rupo est "bric-à-brac qui ne va pas à l'essentiel".

Bart refuse et c’est très bien. Car Di Rupo a fait des concessions qui mettaient en danger la Région Bruxelloise, les Francophones de Belgique et la Wallonie. Il trahissait les idéaux que le PS prétend représenter en matière de sécurité sociale, de soins de santé, de fiscalité juste. Maintenant, l’on sait que le chaos est probablement et définitivement installé dans ce royaume bananier et peut-être vont enfin s’élever d’autres voix que celles du RWF pour demander sa séparation pure et simple d’un état où les citoyens d’expression françaises sont appelés à disparaître !

Le 04-07-2011








 


 

En Wallonie, pas de service minimum de transport

 « Ce n'est pas par des contraintes que l'on peut avancer » - Xavier Desgain (Ecolo),  « Caricature de la fausse bonne idée » - Daniel Senesael (PS), « Evitons le ministère de la parole, mais aussi celui de l'esbrouffe » -  Maxime Prévot (CDH), « Je vous mets au défi de trouver un pays ou une région où le service minimum fonctionne » – Philippe Henry (Ecolo) ministre de la mobilité.

 Ce florilège pour montrer que pour la gauche, les syndicats ont le droit de s’opposer à une vie normale pour le citoyen.  Les travailleurs, les étudiants, les malades n'ont qu'à rester chez eux. Tant pis pour les examens médicaux, estudiantins ou pour celui qui doit gagner sa croûte. Ce n’est plus du service public, mais bien des sévices publics.

Belle mentalité de cette gauche wallonne qui méprise le citoyen sauf lors des élections !

Le 27-06-2011







 


 

Di Rupo, président du PS

"J'ai 5 à 10% de chances de réussir ma mission de formateur"  …  il faut -"fixer les stratégies à court terme et, surtout, s'accorder sur le message à faire passer aux membres du bureau"... la réforme de l'Etat qui nous attend sera d'une ampleur historique. Tous les partis, y compris le PS, devront faire des sacrifices pour arriver à un accord … « Ce qui est sur la table n'est pas très réjouissant pour le PS » Il serait question de discuter des sujets tabous tels que le chômage (diminuer progressivement les allocations de chômage) et l'âge de la pension, qui pourrait être porté à 67 ans...  "Sur BHV, il va falloir faire le grand plongeon" a-t-il conclu.

Di Rupo prépare son parti et l’opinion sur le grand plongeon qu’il est prêt à faire pour être premier sinistre de Belgïe, sur la capitulation sans condition pour arriver à son rêver suprême !

Le 24-06-2011






 

 



 

Jean-Pierre Chevènement, président honoraire du MRC

« Etes-vous encore de gauche?

Je suis d'abord un républicain, un laïque, un progressiste, mais ma gauche n'est pas sectaire ; je fais miennes des valeurs de transmission - patriotisme, travail bien fait - que la gauche aurait tort d'abandonner à la droite. Beaucoup de gens de gauche considèrent qu'il y a les méchants, ceux d'avant, et les bons, ceux d'après. La France est antérieure à la République, ce qu'une partie de la gauche refuse de voir ; la République est l'identité moderne de la France, ce qu'une partie de la droite ne comprend pas. »

J’ai pour habitude de fustiger les déclarations des politiques belges. Une fois n’est pas coutume, mais c’est par admiration pour l’honnêteté de sa pensée que je le cite.
Je suis de droite mais aussi républicain et ne peut qu’être d’accord avec cette réponse. Ah, si la gauche et la droite pouvaient se réunir dans cette vision pour reconstruire la République, la VRAIE !

Le 23-06-2011







 



 

Jean-Claude Marcourt, vice-président du Gouvernement wallon

"Revenir aux Etats-Unis, là où la crise financière a débuté, est un message important pour nos entreprises comme pour nos partenaires américains. Il s'agit de montrer que, même dans des secteurs de pointe, la Belgique est 'the place to be'".

Il faut rappeler que ce personnage est également chargé de l’Economie, les PME, le Commerce extérieur et les Technologies nouvelles. Mais il se prend manifestement pour un membre du gouvernement fédéral.

En disant que la Belgique est « the place to be », il oublie qu’il devrait représenter la Wallonie uniquement. Il est certain par contre que son homologue flamand dira « Flanders is the place to be ».

Dieu, que ces politiciens wallons sont inconséquents !

Le 21-06-2011








 



 

Gérard Deprez, président du MCC et particule du MR

« Les prises de position d'Olivier Maingain montrent qu'il conteste l'autorité de Charles Michel: il dit que la ligne n'est pas celle de son parti … C'est une déclaration de guerre! Je ne sais pas comment le qualifier autrement… Il entreprend une opération de fascisation de la N-VA. Compte tenu de la position de la N-VA sur l'échiquier flamand et du fait que les autres partis flamands ne peuvent pas négocier sans elle, cela vise à empêcher tout aboutissement positif des négociations… Il joue avec la fin de la Belgique à des fins purement électoralistes »

Ce homme politique sans saveur s’accroche au MR « nouvelle présidence ». Peu lui chaut les fourches caudines que Bart de Wever prépare aux francophones. ce qui compte pour lui , c’est  le sauvetage de la belgïe et des avantages qu’il en retire. Ce « politicarté » se trompe comme toujours, la réaction de Maingain  témoigne de la volonté de maintenir une belgique francophone, l’alternative d’une domination flamande lui étant insupportable.

Le 20-06-2011







 



 

Didier Reynders, ministre fédéral des Finances

"Si la Grèce était le premier pays à faire défaut, les regards se tourneraient ensuite vers d'autres pays comme l'Irlande, le Portugal, l'Espagne, l'Italie, peut-être la Belgique mais aussi la France, quand on voit son niveau de déficit et d'endettement".

Après avoir vanté pendant des semaines la solidité des « fondamentaux » belges, cet ex-résident du MR joue les perroquets de Jean-Claude Juncker (voir la petite réflexion du 18-6-2011). Mais dans sa volonté de mouiller tout le monde à sa mauvaise gestion, il ajoute sournoisement la France à la citation du président de l'Eurogroupe.

Comme si 10% de différence de la dette n’était qu’une vétille et que les capacités industrielles et économiques de la France étaient égales à celle de ce royaume. Quand un nain se compare à un géant, cela ne fait même pas sourire !

Le 18-06-2011






 



 

Jean-Claude Juncker, président de l'Eurogroupe

« Nous jouons avec le feuLa faillite peut contaminer le Portugal et l'Irlande et, en raison de leur endettement élevé, la Belgique et l'Italie, même avant l'Espagne Je suis convaincu que, si elle n'avait pas l'euro, la Belgique aurait un gouvernement depuis longtemps, parce que la sanction financière serait intervenue depuis plusieurs mois ».

Les politiciens les plus européens commencent à craindre la fin d’une Europe dont ils chantaient avec enthousiasme la pérennité, il y a peu encore. Mais comme toujours, l’analyse de ce vieux politicien luxembourgeois, est incorrecte. En effet, si l’euro n’existait pas, la scission de la Belgique serait faite depuis longtemps, car la distance entre Flamands et Wallons est telle qu’aucun accord ne serait possible et que la Flandre pressée par l’urgence aurait proclamé de force son indépendance, pour éviter de couler avec l’ensemble du royaume.

Le 15-06-2011






 



 

Yves Leterme, premier ministre provisoire

« Elles (les régions –NDLR) ne pourront plus rester reliées à la perfusion belge, elles doivent être financièrement responsables… Cela suffit (A propos du gouvernement en affaires courantes - NDLR ). Nous dirigeons le pays pendant que d'autres se reposent sur leurs lauriers. Ce n'est pas le cours normal des choses. »

C’est ce premier ministre par défaut qui déclarait en 2006 « La Wallonie est un sac à dos bourré de cailloux qui gène la Flandre » ayant en tête l’importance des transferts financiers de la Flandre vers cette région. La situation n’ayant pas beaucoup évoluée depuis, l’on peut dire que ce Flamand, chanteur occasionnel de Marseillaise, n’a qu’un désir, supprimer la solidarité qui était le faible ciment d’une Belgique délabrée. Et dire qu’il y a des Wallons qui s’imaginent avoir affaire à un ardent défenseur de la Belgique. Ils se trompent sur un point essentiel, c’est de la belgïe qu’il se réclame !

Le 13-06-2011











 

Bart Maddens, auteur du plan qui inspire le front flamand

« Je n'ai jamais compris l'euphorie de l'après- élection: comme si Elio Di Rupo et Bart De Wever allaient tomber dans les bras l'un de l'autre. Les divergences ne s'étaient jamais marquées aussi profondément lors du résultat d'une élection, jamais auparavant on n'avait perçu une si grande difficulté à former un gouvernement. Les Flamands sont demandeurs de réformes radicales, les francophones se contentent du statu quo. Il est dès lors très difficile d'aboutir à un compromis… Le gouvernement est démissionnaire et le parlement ne peut donc plus le démettre. On ne peut pas tuer une seconde fois un gouvernement zombie ».

En ce 13 juin anniversaire des élections fédérales de 2010, cette déclaration démontre bien, ce que les politiciens francophones ne veulent pas voir. Et pourtant leur refus de retourner aux urnes, privant ainsi l’électeur de l’expression de sa vision nouvelle au vu des cette carence gouvernementale, prouve bien leur refus dogmatique de la constatation que la belgique est bien morte, une nation flamande voulant prendre le pouvoir au détriment d’une région wallonne qui  ne trouvera son salut qu’en devenant Région de France !

Le 12-06-2011











 

Bart de Wever, président de la N-VA

« Que peut-on reprocher à cet article ?" En réponse au journaliste de La Libre Belgique qui l’interrogeait sur l’article 1 du programme de son parti qui parle de la création d’une république flamande indépendante.

" Il signifie qu'on croit dans le futur, on va évoluer vers des niveaux de gouvernance qui seront d'une part notre propre démocratie -la Flandre - et d'autre part un niveau supranational, à savoir l'Europe. C'est une évolution à long terme. Vous pouvez me le reprocher, mais c'est ce que je pense. Et si je peux vous faire une confidence: quand on parle avec les grands hommes politiques de la Belgique, il est rare que j'en trouve un qui croit vraiment dans le futur de la Belgique".

Dans le fond, une vision commune avec un José Happart qui défend la même thèse à propos de la Wallonie. Mais comment croire en l’Europe des régions, alors que celle des nations prend eau de toutes part ? Une super dictature ou un grand « bordel » continental ? La Wallonie, devenue trop faible n’a qu’un bouée de sauvetage, rejoindre une nation qui a encore la faculté de retrouver sa souveraineté et sa place dans le monde, la France.

Le 10-06-2011











 

André Antoine, ministre CDH de la Région Wallonne

"Lorsque vous (Luc De Bruyckere , industriel et patron du VOKA – NDLR) indiquez qu'il y a 6 milliards de déficit, alors qu'il n'est que de 240 millions d'euros, avouez quand même que c'est de la malhonnêteté intellectuelle. Mais cela fait partie de ce laïus répété d'une certaine Flandre qui veut accabler la Wallonie et qui se réfère pour cela à des lectures tout à fait dépassées. Et aujourd'hui la Wallonie va beaucoup mieux. Je donne un exemple au patron flamand: en quatre années, la Wallonie a créé 40% d'entreprises de plus qu'en Flandre".

Il n’y a que la vérité qui blesse, vieux diction populaire qui s’applique à ce Ministre du Budget, des Finances. Trends Tendances revue économique sérieuse vient d’écrire, « Le déficit primaire de la Wallonie s'est considérablement dégradé en 2009 et 2010 en raison de la crise économique, à respectivement 6,9 et 6,2 milliards d'euros, selon les chiffres du CERPE. En 2006, le déficit primaire wallon était encore de 1,7 milliard d'euros.  [...] La Flandre et Bruxelles ont quant à elles enregistré en 2010 un surplus primaire de respectivement 4,3 milliards d'euros et 276 millions d'euros en 2010 »

Le 09-06-2011










 

Serge Kubla, député libéral wallon

« Beaucoup de pays d'Europe vivent au-dessus de leurs moyens. Donc, prenons-en notre part …la Wallonie, avec son faible taux d'emploi, avec 278.000 personnes à la recherche d'un job, avec son niveau de formation, a quand même une certaine qualité de vie qui n'est pas générée par sa croissance et sa richesse, mais aussi par les transferts en provenance de Flandre 

L’analyse est bonne mais les conclusions qu’il devrait en tirer ne viennent pas. Une régionalisation accrue nous plongera dans détresse sociale, les transferts financiers de l’état fédéral et de Flandre étant très limités et soumis à condition. La seule chance de voir un réel redéploiement économique et social est le retour à la France qui, dans un premier temps est à même d’amortir le choc du déficit, et dans un deuxième temps nous offrira la croissance nécessaire à un essor nouveau.

Le 07-06-2011











 

Olli Rehn, commissaire européen aux Affaires économiques

« Si un Etat membre en dévie (des recommandations édictées par cette supra-souveraineté - NDLR), nous espérons que le Conseil des ministres aura une discussion profonde et que la pression des pairs s'exercera »

Les recommandations à la Belgique sont notamment de « réformer, en consultation avec les partenaires sociaux et en accord avec les pratiques nationales, le système de négociation collective des salaires et d'indexation, afin d'assurer que la croissance des salaires reflète mieux les développements de la productivité et de la compétitivité … de situer son déficit, bien en dessous de 3% du PIB l'an prochain, en prenant des mesures principalement du côté des dépenses. »


Bien entendu, nos politiciens, le futur éventuel gouvernement, Di Rupo et Bart de Wever en tête, va s’empresser des les appliquer, compte tenu qu’un projet de directive prévoyant des amendes de 0,1% à 0,2% du PIB est à une stade de discussion avancé entre le Parlement européen et les Etats membres.

Le 05-06-2011

 

 

 


 

 

Philippe Courard , Secrétaire d'Etat fédéral PS

« De la provocation, encore de la provocation. La meilleure façon d'y faire face est de l'ignorer, faire ce qu'Elio Di Rupo fait, travailler pour former un gouvernement. Les attentes sont sociales et économiques, et donc les bons mots et provocations des uns et des autres ne doivent plus avoir cours ... Bart De Wever  veut dynamiter le pays, c'est l'ambition de départ, on le sait …il faut réagir avec les Flamands, les Bruxellois, les Wallons qui veulent travailler et veulent un pays qui tourne, penser d'abord aux citoyens. »

Cet excellent démocrate  qui impose des centres d’hébergement pour demandeurs d’asile sans consulter ni les autorités locale, ni les populations des lieux où il les implante, ignore apparemment la carte politique belge. En effet, l’on peut dire que les revendications d’autonomie régionale de la Flandre sont le fait de tous les partis flamands, avec quelques nuances parfois, à part le ridicule Groen.  Oui les Flamands veulent travailler, oui mais pour eux, exclusivement pour eux !

Le 01-06-2011






 

 

Bart de Wever, héritier de Von Bissing ?

«  Il faut maintenant s'accorder sur des réformes, et de manière très concrète. Avec un front flamand, il doit être possible de promouvoir des réformes sur le modèle allemand. Par le passé, nous avons souvent constaté que les promesses du style 'nous verrons bien' ne se concrétisaient jamais… les francophones ne veulent pas de cela, par crainte d'un bain de sang social … Il nous faut donc constituer un front flamand, avec les partis les plus enthousiastes pour y entrer »

Bien qu’il faut avouer que Bart a raison sur le bain de sang social que la Wallonie risque de subir, il est difficile de le suivre dans son admiration pangermanique. Une vieille tentation  flamande ?
Consulter mon article Bart de Wever est-il l'élève du général Von Bissing ?

Le 30-05-2011






 

 

Bart de Wever, le Caliméro flamand

« Ce pays a toujours existé par la grâce des Flamands bilingues. Même aujourd'hui, les négociations gouvernementales se déroulent en français. Ce n'est quand même pas normal … On peut discuter de la forme du propos, mais (Vic Van Aelst, avocat anversois et membre de la N-VA, avait déclaré quez la Belgique n'existait encore que "par la grâce des Flamands bilingues" - NDLR.) met bien le doigt sur la plaie. Est-ce sage? Je l'ignore. Mais on retrouve de nombreuses vérités au cœur de sa protestation ».

C’est trop injuste comme aurait dit ce poussin noir. De pauvres malheureux obligés de négocier dans ce qui reste encore une langue diplomatique mondiale. Et comme les Flamands délaissent de plus ne plus l’étude du Français au profit de l’Anglais, l’on peut dire que l’état belge est condamné à la disparition.

Le 28-05-2011






 

 

Elio Di Rupo, formateur francophone

« Je veux des mesures justes, sérieuses, bien étudiées … J'écoute ce que les partis ont à me proposer comme mesures, puis mes experts en évaluent chaque fois l'impact. C'est sur cette base que je rédigerai ma note… Nous ne travaillons certainement pas dans une vision de nouvelles recettes insoutenables pour les gens ou d'une baisse des dépenses au détriment de l'appareil d'Etat. Nous devons aboutir à un équilibre raisonnable. Il y a un chemin étroit... Mais il y a un chemin »

Que dire ? sinon que sa dernière phrase est équivoque.  Que Diable veut-il dire ? Un chemin étroit à emprunter pour arriver à une union « gouvernementale ». Tout un programme pour l’homme.

Le 25-05-2011








 

 

Wouter Beke, négociateur royal

"Et si vous recevez alors tout de même un tel courrier (Di Rupo lui demandant de ne pas rendre son rapport public – NDLR) avec comme explication « je voulais me couvrir dans le cas où tu aurais tout de même rendu ta note publique et que je me retrouverais du coup dans une position difficile par rapport aux autres partis francophones', alors c'est clairement une douche froide, très froide. Cela ne témoigne pas d'une forme de confiance »

Assez amusant que Di Rupo, mors de sa conférence de presse avait déclaré en tant que formateur qu’il voulait la transparence vis-à-vis de l’électeur. Il dirait tout ce qu’il y a sur la table. Et Kroll dans une de ses caricatures meurtrières, posait la question sur ce qui se trouverait en-dessous d’elle.

Di Rupo, Commediante dell Arte

Le 20-05-2011








 

 

Stefaan De Clerck, ministre flamand de la Justice

" Ce que je veux, c'est ouvrir le débat, avoir un dialogue. Après 65 ans, il doit être possible d'examiner comment des éléments de réconciliation peuvent être construits. Il n’est évidemment pas question d’oublier … on pourrait avoir un débat sur les effets qui se font encore sentir pour certains descendants ".

Ne pas être d’accord sur la tenue de ce débat est certainement une attitude morale vis-à-vis des milliers de victimes des collaborateurs, mais pourquoi cette hargne du PS sur cette volonté affichée, alors qu’Elio Di Rupo avait admis l’idée d’une acceptation d’un débat sur l’amnistie lors des négociations préalables à la formation d’un gouvernement ?

L’élasticité mentale de ce pur produit politique dans le but de devenir premier ministre peu faire craindre pour l’avenir des Wallons et encore plus pour celui des Bruxellois !

Le 17-05-2011


 







 

 

Rudy Demotte, ministre président de la Région Wallonne

"Il est clair que la médiatisation de certaines saisies a poussé les créanciers de la Wallonie à activer plus promptement la voie de la contrainte pour tenter d'obtenir plus rapidement, et sous la menace d'une vente des biens mobiliers saisis,  le paiement des montants qui leur a été octroyé par la justice",

Des créanciers qui veulent récupérer leur argent par décision de justice, alors qu’ils ont déjà été obligés de recourir aux moyens légaux pour tenter de recevoir leur dû, quelle indécence.

Et ce président de pacotille de philosopher sur ces actions et leur médiatisation plutôt que présenter ses excuses pour une gestion brouillonne, à la limite de celle du Quart-Monde, attendant l’huissier pour payer les dettes les plus urgentes d’un ménage surendetté.

Décidemment, le surnom de Rase-mottes lui convient parfaitement. Il mène une politique au ras des pâquerettes !

Le 14-05-2011


 






 

 

Karl-Heinz Lambertz

« La Communauté germanophone est disposée, prête et en mesure d'assumer toutes les compétences qui lui seront transférées suite à la réforme de l'EtatPar contre, si la réforme de l'Etat modifie l'architecture du pays, il faudra tenir compte de notre Communauté. Le destin de la plus petite des entités fédérées est de pouvoir prendre en main toutes les compétences qui ne sont pas du ressort du fédéral »

 Suite à la régionalisation, l’état belge agonise depuis des années et arrive à la phase finale où l’on constate que le fédéralisme a créé des divisions de plus ne plus importantes. Quatre régions ?? Pourquoi pas cinq. Le pays de Liège pourrait être la cinquième. Le pays éclate.

Une seule solution, une Wallonie, Région de France 

Le 08-05-2011


 






 

 

Paul Magnette  un pontifiant socialiste sans valeur

« C’est exagéré de dire que c’est un nouveau luxe (à propos de l’énergie – NDLR), mais c’est vrai que les prix ont augmenté partout dans le monde depuis quelques années pour des raisons lourdes et historiques...

Comment oser parler d’exagération lorsque l’on voit les prix de l’énergie élevé  à un point tel que la plupart  des citoyens à revenu modeste ou moyen ne sont plus à même de se le payer. Il est vrai que ce socialiste bon teint n’a pas de problème d’intendance. Il rejoint la reine Marie-Antoinette qui disait méprisante sur son peuple qui réclamait à manger « S’ils n’ont pas de pain qu’ils mangent de la brioche ».

Comment ose-t-il, ce privilégié de la caste dite de gauche, mépriser ainsi les difficultés à vivre correctement des retraités, des travailleurs, des malades, des chômeurs ?

Le 04-05-2011







 

 

 

Michel Daerden lors des discours du 1er mai à Liège

« Beaucoup de choses, même les plus idiotes, ont été dites. J'entends faire taire les rumeurs selon lesquelles je nourrirais le vil projet de figurer sur une autre liste que le PS, voire de créer ma propre liste. Je suis né, j'ai vécu et je mourrai socialiste »,

Si vraiment, Papa ne disait pas n’importe quoi, il reconnaîtrait l’erreur de se soumettre à un parti qui n’a de socialiste que le nom et qui a perdu tous les idéaux que ce mot représentait.

Détail comique, alors que le peuple crève d’une mondialisation à outrance qui entraîne la misère, le chômage et les délocalisations, la messe populaire se termine par une vibrante « Internationale ».

Emile Vandervelde, reviens. Ils sont devenus fous !

Le 29-04-2011







 

 

 

Siegfried Bracke, député de la N-VA

« La N-VA demande de prendre l'initiative et d'assumer sa responsabilité comme plus grand parti de Belgique. Il ne faut pas continuer à négocier comme ça. On ne négocie pas vraiment mais on fait des petits jeux, on fait semblant »

Dans les coulisses des partis francophones, personne ne souhaite que le parti de Bart De Wever reprenne la main. "Ce serait lui donner l'occasion de produire une nouvelle note aussi imbuvable que celle d'octobre", dit un ténor cité par Le Soir. "Les francophones devraient la refuser et seraient alors les grands responsables de la crise".

L’on sait que les positions nord/sud sont inconciliables, mais personne ne veut le dire. C’est le jeu du « je te tiens, tu me tiens par la barbichette ». il peut durer longtemps malgré que le Titanic belge s’enfonce lentement mais sûrement dans le chaos.

L’électeur se demande s’il ne faut pas envoyer à tous la tapette promise par la chansonnette.

Le 26-04-2011






 

 

 

Charles Michel, nouveau président du MR

«  Il y a plutôt une démarche à contre-courant de l’histoire européenne quand on veut se replier sur ses frontières alors que la réalité aujourd’hui fait qu’au contraire, ce qui compte aujourd’hui c’est la dimension des personnes, l’accueil des étrangers. La Belgique est un carrefour en Europe où de nombreuses nationalités se rencontrent  »

Ces mots prononcés lors d’une interview sur la réunification éventuelle du Brabant démontrent, s’il le fallait, que le MR est pour une ouverture de plus en plus forte au « melting pot » si cher aux gens de gauche.
 

Pauvres libéraux, que vont-ils devoir avaler avec ce « fils de » ?

Le 25-04-2011






 

 

 

 

Benoît Rihoux, professeur de sciences politiques à l'UCL

« Il y a une pression de plus en plus forte des milieux socio-économiques. Et cette pression remonte aussi via les partis politiques. Mais est-ce que cette pression sera assez forte que pour changer la donne dans les négociations ? Je ne pense pas parce qu'il y a en fait peu de pression décisive depuis l'extérieur. Donc je ne m'attends pas à des avancées décisives dans les prochaines semaines dans la mesure où le gouvernement en exercice provisoire gère les affaires du pays ».

Cet « éminent » professeur démontre, sans avoir l’air d’y toucher, c’est que le gouvernement que tout le monde dit en « affaires courantes » devient dans sa déclaration un « gouvernement provisoire ».

Effectivement créer de futurs budgets, une participation à une guerre, passer des accords sociaux est le fait d’un vrai gouvernement, même s’il est provisoire. Cela pose question.

La belgïe est-elle encore une démocratie respectant une constitution et le vote des électeurs ?

Le 23-04-2011






 

 

 

 

 

Joëlle Miquet, Mater Dolorosa d’une Belgique qui se meurt

« On est plus loin qu'il y a un an. On peut dire que nous n'avons jamais été aussi loin dans le blocage institutionnel. Mais il faut également reconnaître que nous n'avons jamais été aussi loin dans la configuration d'une réforme de l'Etat …

Si elle (l’offre sur la table- NDLR) ne parvient pas à contenter un parti flamand, pour des raisons qui sont les siennes, ce n'est pas pour cela qu'elle n'en contente aucun. C'est une offre très importante. La N-VA dit elle-même qu'en 2007, elle aurait sauté de joie si elle avait été mise sur la table ».     

Elle a presque tout donné à Elio, à Bart, aux Flamands et geint sur l’incompréhension qui accompagne son sacrifice.

Bart De Wever a certainement lu Jean-Jacques Rousseau qui disait « Il ne faut point refuser pour refuser mais pour faire valoir ce qu’on accorde ».

A se demander ce qu’il nous prépare comme cadeau !

Le 20-04-2011






 

 

 

 

 

Eric Defoort, co-fondateur de la N-VA

« La N-VA n'a pas la moindre intention de trahir le million d'électeurs qui lui ont fait confiance en juin dernier. Les 27% de Flamands qui ont voté pour nous n'ont pas voté pour l'indépendance de la Flandre mais pour une restructuration fondamentale de cet Etat ... Si ces formations jugent que les propositions figurant aujourd'hui sur la table sont à ce point alléchantes, qu'ils signent un accord de gouvernement et laissent donc tomber ces énergumènes de la N-VA! Elle n'entrera pas dans un gouvernement qui ne proposera pas cette avancée". »

Il faut reconnaître que la N-VA a le mérite d’être franche, chose peu habituelle chez les politicards francojaunes. L’électeur qui  les a choisis, contrairement à tous les autres, n’aura pas le sentiment d’être trahi. Cela aussi c’est de la démocratie… alors les amateurs de compromis(sions), vous approchez de l’hystérie de vous voir refuser quelques miettes pour sauver votre réputation.

De toute façon, la belgique de papa est morte. Espérons qu’elle ne se transforme pas en belgïe, sous les coups de boutoir de Bart De Wever. Au secours, la France !

Le 17-04-2011





 


 

 

 

 

 

Bart De Wever estime que la comédie a assez duré

« Il est évident que des conclusions vont devoir être tirées prochainement. Si nous ne sommes nulle part ou si nous arrivons quelque part où nous ne voulons pas être c'est que le moment est venu de dire: est-ce que cela a encore un sens d'y aller ou non? ».      

Il dénonce le S.pa et l’Open VLD qui le critiquent  « Si on continue à agir de la sorte en vue de nous mettre à mal, c'est la position des Flamands dans la négociation qui sera affaiblie ».

La N-VA a raison. L’on ne peut continuer le ridicule carrousel de « missi dominici » royaux qui ne servent qu’à retarder de nouvelles élections ou prolonger un gouvernement en « affaires courantes » qui franchit de plus en plus la ligne qui sépare une vraie démocratie d’une dictature en devenir.

Quand les élus vont-ils se rendre compte qu’il ne faut plus tenter de modifier la constitution dans laquelle une des communautés sera toujours brimée puisque leurs désirs sont opposés ?

Quand vont-ils enfin décider d'entamer les modalités d’un divorce raisonnable ?

Le 14-04-2011





 

 


 

Guy Vanhengel de l’Open-VLD

"C'est le énième acte d'une pièce de théâtre absurde qui dure depuis le 13 juin où les idées et raisonnements les plus fous sont exprimés et qui font qu'on s'éloigne du but", a-t-il indiqué. "Je constate que la N-VA dit les choses les plus bizarres qui soient et qui n'ont rien à voir avec le travail du gouvernement et les exigences européennes".

Le plus comique, c’est que cette réflexion vient d’un homme du parti qui a fait chuter le gouvernent et obligé à aller aux élections qui ont placé l’état fédéral dans cette situation de plus de 300 jours de crise et qui l'amènera peut-être à une disparition programmée.

Drôle de Mea Culpa !

Le 08-04-2011





 

 

 


 

Glenn Audenaert, directeur de la police judiciaire fédérale (PJF) de Bruxelles

"La police fait trop de choses qu'elle ne devrait pas faire. Nous devrions davantage oser travailler avec le secteur privé. Pourquoi est-ce que le secrétariat social de la police ne pourrait pas être situé à Bombay? Nos 196 zones de police locale seront bientôt impayables. Nous devrons en outre bientôt assumer plus de tâches avec moins de moyens humains."

Par ses déclarations à De Tijd, l’on ne peut pas dire que ce Gantois brûle d'un nationalisme brûlant belge, même pas Flamand.

Lorsque l’on sait qu’une bonne partie des secrétariats sociaux (les centres de calcul, tout au moins) est basée en Flandre, vouloir expatrier le calcul des rémunérations à Bombay, ne peut certes pas lui donner un brevet de patriotisme,  pas même européen. Il ne songe même pas aux pays de l’Est. Non, tout de suite l’Inde.

Décidément, la Belgique est en état de mort clinique !

Le 04-04-2011





 

 

 


 

Olivier Maingain, Bruxellois mais pas Français

"Si vous voulez faire jeu égal sur le plan économique avec la Flandre, il faut structurer la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le plan des compétences communautaires (l’enseignement, la culture) mais aussi sur le plan des compétences régionales. La Fédération est une plus-value pour l'espace économique entre Bruxelles et la Wallonie"

Si l’on peut comprendre et trouver son raisonnement juste, il n’entraîne en rien la nécessité de suppression de l’ancienne appellation. La Communauté Française pouvait servir de socle commun à cette fédération.

Evidemment, l’on ne mentionnait pas Bruxelles et la Wallonie, grave péché aux yeux  des fédéralistes belgicains qui ne supporte plus l’adjectif « français » qui pourrait préfigurer une appartenance naturelle à la France. Pour ceux qui affirment que Maingain serait secrètement rattachiste, la désillusion doit être grande !

Il  n’y a qu’un moyen de sortir du marécage fédéraliste, rejoindre la France !

Le 02-04-2011





 

 


 

Geert Bourgeois, ministre flamand de la N-VA

« Soit nous nous dirigeons dans les prochains jours vers un double accord, avec une grande réforme de l'État et une grande réforme socio-économique, soit les autres feront un gouvernement sans nous ... Nous devons toujours attendre le PS. Nous avons tout essayé ces derniers mois mais nous n'avons pas reçu une seule fois une offre sérieuse du PS … Un gouvernement en affaires courantes sans soutien démocratique suffisant, ce n'est pas faisable. C'est un exercice sans engagement C'est aux autres partis de décider s'ils sont d'accord avec une petite réforme de l'État ou un scénario comme en 2007 »

La N-VA ne pliera pas. Soit Di Rupo va s’étaler devant le maître flamand, Mais s’il se rend compte enfin de l’impossibilité de survie de la Belgique, il devra choisir entre la catastrophe d’une Wallonie en perdition ou suivre la thèse des rattachistes, le retour  la France !!!

Le 29-03-2011





 

 


 

Olivier Chastel, Ministre de la Coopération au Développement

« On voit beaucoup de réfugiés tunisiens traverser la Méditerranée. Je pense qu'il faut évidemment être très attentif au problème. Sachez par ailleurs que le gouvernement belge prendra ses responsabilités. Il y a des vrais réfugiés, des vrais persécutés dans leur pays. Le gouvernement belge a d'ailleurs déjà décidé, jeudi passé, d'accepter sur son territoire 25 Erythréens qu'on demande à l'Europe d'accueillir. Chaque pays doit mener sa contribution en la matière ».

Belles paroles lorsque l’on sait que les demandes d’asile sont en hausse de 30% par mois, que les 3.000 places créées en novembre dernier seront bientôt insuffisantes et que « si on ne fait rien dans les prochaines semaines, on va se retrouver avec 2.000 personnes dans la rue » selon Philippe Courard.

Que va faire le gouvernement belge ? Créer de nouveaux centres d'accueil ?

Le 26-03-2011





 

 


 

Bernard Wesphael, député wallon - un écolo lucide

« Plutôt que de rassembler les acteurs liégeois – c'est le rôle du premier parti – le PS divise. Je constate aussi que la haine entre les clans au PS n'a jamais atteint un tel paroxysme, dès l'instant où cela cause du tort aux Liégeois et aux grands dossiers de la région, qui sont retardés à cette occasion. On ne peut plus être dans un logique de guerre intestine permanente au parti socialiste. C'est très mauvais pour tout le monde, et surtout pour Liège ».

Il y a dans la vie politique des moments où il faut reconnaître la justesse d’une déclaration politique d’un politicien qui se révèle comme un véritable Saint-Just  liégeois. Son talent exceptionnel pour dénoncer les dérives politiciennes me fait regretter qu’il ne soit pas aux côtés des rattachistes. Il serait parfait pour créer un Comité de Salut Public style 1793.

Je n’aime pas les écologistes mais j’ai une certaine tendresse pour sa rigueur morale !

Le 22-03-2011





 

 


 

De Wever le dit : sa présence chez le Premier ministre anglais

« revêt une symbolique énorme pour nous alors qu'on essaye parfois de nous décrire comme des gens bizarres, malfaisants, voire bien pire. Je pense que ceux qui doutaient encore de la crédibilité de la N-VA comme interlocuteur valable et raisonnable peuvent revoir leur copie ».

David Cameron a déclaré vouloir faire du parti nationaliste flamand "un allié sur la scène européenne" et a ajouté « Nous allons voir dans le futur comment nous allons pouvoir collaborer ensemble ».

Quand la Grande Bretagne choisit la NV-A comme partenaire, les Wallons devraient se rendre enfin compte que le rouleau compresseur flamand est en route et qu’il ne reste que le chemin de la France pour y échapper !

Le 15-03-2011





 

 


 

Joëlle Milquet révèle sa pensée mondialiste

"ce qui se passe en Flandre illustre ce que l'on découvre ailleurs en Europe: un tsunami de nouvelles pensées uniques, droitières à outrance, populistes et démagogiques … il faut du courage pour oser affirmer que le défi du XXIè siècle, c'est la gouvernance mondiale, à rebrousse-poil du nationalisme étriqué".

Déjà l’Union européenne impose 80% des lois votées, enlevant  toute valeur démocratique à la gestion du pays. Ce ne sont plus les élus du pays qui créent les lois au profit de leurs électeurs. Milquet semble mépriser son pays en affirmant son allégeance future à une gouvernance mondiale.

Nous pensons qu’elle est apte à rejoindre le « club » très fermé des « Bilderberg », peu connu du public mais très influent par la rencontre de ses membres.

Le 13-03-2011




 

 


 

Charles Michel croit encore à Saint-Nicolas

" Je confirme que pour le MR il est important d'avoir une vision objective sur la façon dont les hautes fonctions sont assumées au niveau fédéral. Il est légitime qu'il y ait un débat au parlement pour objectiver ce problème. Sur cette base, il m'apparaît tout aussi légitime de poser cette question lors de la formation d'un gouvernement. "

Comme nouveau président du MR, il frappe fort. Détricoter la stratégie flamande de prise du pouvoir en belgïe.  Il est naïf ou il prend une posture politique de défenseur des francophones ?

Pour faire plaisir à son féal Maingain, qu’il mette déjà la nomination des Bourgmestres francophones dans les communes à facilités. Maar, dat is onspreekbaar !

Le 12-03-2011




 

 


 

Dehaene "Sire, donnez leur 500 jours si c'est nécessaire"

« Lorsque j’avais demandé 100 jours au roi en 1988, on avait estimé que c’était du ‘jamais vu’. Et bien, s’ils sont besoin aujourd’hui de 500 jours, ce sera aussi du ‘jamais vu’. Je ne veux pas dire que ca doit encore durer 500 jours. Mais s’il le faut, allons-y. »

Pourquoi pas, mille jours, cinq mille, dix mille, l’éternité. La Dictature est en marche lorsque l’on ne veut plus consulter le peuple, que l’on pense pour lui. Elle commence aussi lorsque, à la suggestion du roi, un gouvernement « en affaires courantes » dépasse les prérogatives constitutionnelles pour « sauver » le pays. La belgïe devient-elle une dictature flamande.

 L’espoir des négociateurs flamands est -il de tuer la dernière résistance wallonne à l’usure ?

Le 11-03-2011




 

 


 

Marc Brichaux, permanent Setca Mons-Borinage l’affirme :

" Le choix de Donfut à la direction de Toit et Moi « est une nomination politique. Malgré les très bons résultats de l’autre candidat, le CA a choisi Dider Donfut et donc, effectivement, cela a des relents politiques indéniablement. " 

Mais en bon syndicaliste rouge, il n’ose pas aller jusqu’au bout, en disant ce que tout le monde sait,  Toit et Moi, la société de logements sociaux  est l’héritière de la Sorelobo
 dont les bourgmestres de Mons, Maurice Lafosse et Elio Di Rupo, ont été administrateurs.

Di Rupo, le président du PS aime ses serviteurs. Il serait bizarre qu’il n’ait pas influencé le CA de Toit et Moi.

Le 06-03-2011





 

 


 

Delpérée face à ses collègues  « desesperados »

"Le problème, c'est quand je vois que le débat arrive sur la place publique parce que le président de la Commission de l'Intérieur de la Chambre (le N-VA Ben Weyts, ndlr) met le problème au sein du parlement, c'est lorsque les ministres Open Vld soutiennent mollement (...) et quand le premier ministre (Yves Leterme) lâche le commissaire général en pleine séance du parlement ; là, ce n'est plus de la justice, c'est le Far West ! ".

Ce pauvre homme, drapé dans sa respectabilité de constitutionaliste, joue les Caliméro devant la démission (forcée ?) de Fernand Koekelberg, le chef de la police fédérale.

Mais que dit-il quand le roi encourage un gouvernement en affaires courantes d’aller au-delà de ses prérogatives pour "sauver" le pays ? Rien. Nada, Silence radio !

Le 05-03-2011



 

 


 

Charles Michel n’est pas pressé

« Même si nous sommes d'avis qu'après huit mois il est temps d'aller vers des situations qui permettraient de prendre un certain nombre de mesures socio-économiques nécessaires, nous ne pouvons accepter de telles pressions…. Celui qui met la pression doit se sentir nerveux. »

Alors que les manifestations pour la formation d’un gouvernement sont de plus en plus nombreuses dans la population, le nouveau président du MR n’est pas nerveux. Il plane …

Sera-ce un nouveau « roi » fainéant  de la politique belge?

Le 04-03-2011


 

 


 

Jan Jambon, Chef de groupe NV-A, prévient

"Ou bien un accord sur la réforme de l'Etat, BHV et Bruxelles est trouvé endéans les deux mois, ou bien nous quittons la table des négociations Un gouvernement en affaires courantes ne peut pas faire tout cela" (à propos des budgets à établir pour plusieurs années et les exigences européennes- NDLR)  … Un gouvernement de plein exercice doit donc être constitué à ce moment-l (pour avril 2001 – NDLR). Si cela n'arrive pas, le nouveau gouvernement n'obtiendra pas la confiance de la N-VA …Si une majorité est dégagée sans nous, ce qui serait du reste légitimement démocratique, nous considérerons alors les négociations comme terminées."

Allons, les francophones, vous acceptez les exigences de Moeder Vlanderen ou …

Le 03-03-2011


 

 

 

 


 

Les réflexions « intelligentes » du Mage Melchior

« Quand on est à sept, ça veut dire qu'il y a des gens qui sont dehors et qui peuvent critiquer. Par contre, si tout le monde est dedans, ça peut représenter un élément positif »

Cette réflexion n’est pas celle d’un élève d’école primaire mais celle du Secrétaire d'Etat au Budget, à la Politique de Migration et d'Asile, à la Politique des Familles et aux Institutions culturelles fédérales.

Le plus comique, c’est qu’il appartient au CDH, qui a négocié pendant près de sept mois avec sept partis politiques refusant presqu’hystériquement la présence des deux partis libéraux.

« Fais ce que je dis mais ne fais pas ce que je fais » semble être la recommandation de cette lumière de la communication politique !

Le 02-03-2011


 

 

 


 

Isabelle Durant prend le nombril de Manenkenpis pour celui de l’Europe

« Je suis très étonnée du silence de l'Union européenne. Dans le fond, tout ce qui se passe depuis des mois a lieu en Belgique, dans un pays d'accueil de l'Union Européenne … Cela peut prendre des formes diverses, mais il faut éviter l'indifférence. Et encore, ce n'est pas de l'indifférence, c'est plutôt de la gêne. Parce qu'on a un peu peur, à l'Union Européenne, de voir en Belgique ce qui pourrait se passer à l'échelle de l'Union. On doit être solidaire. Si on poussait la Belgique positivement, à chercher la solution, ça pourrait nous amener à trouver un fédéralisme moderne et intelligent, qui serait un signal pour le reste de l'UE »

La Belgique mentor de l’Union Européenne ? Quand la grenouille (verte) veut se faire aussi grosse que le bœuf  !

Le 01-03-2011


 

 

 


 

Mathias De Clercq, député fédéral Open Vld

« Ce parti (la N-VA- NDLR) fait clairement la démonstration qu'il ne voulait ou pouvait aboutir à une solution … La stratégie perfide du pourrissement a duré assez longtemps. Elle doit être démasquée. Ce qui est drôle, c'est que Bart De Wever s'en sort avec son comportement parce qu'il y a toujours quelqu'un d'autre qui vient retirer les marrons du feu, comme le président du CD&V Wouter Beke. Mais c'est De Wever qui dirige tout. Il diffuse la pensée unique, ... place le virus dans le système »

Qui a dit qu’il n’y avait plus de Belgicain en Flandre ? En voilà au moins un. Le plus comique, c’est qu’il appartient au parti qui a fait tomber le gouvernement parce que BHV n’était toujours pas scindé après 3 ans de mise au frigo communautaire.

Le 25-02-2011


 

 

 


 

Didier Reynders est optimiste

 " Je crois que l'on a progressé sur un très grand nombre de points. Maintenant, il appartiendra au roi de voir comment franchir une étape suivante ".

Et c’est là le hic ! Compte tenu de la fermeté flamande et de la « souplesse » relative des partis francophones, plus soucieux de sauver leur « Belgique » que de donner un avenir à la Wallonie, l’on peut se demander quels sont ces points.

A remarquer que ledit Reynders reprochait aux autre négociateurs de pratiquer un brouillard épais sur leurs tractations. L’on voit qu’il fait de même ! Un mépris pour l’électeur qui n'a pas besoin de savoir à quelle sauce il sera accommodé  ?

Le 24-02-2011


 

 


 

 

 


 

Di Rupo, un démocrate ? Difficile à croire

« Si nous sommes obligés d’aller voter, si on force les citoyens à s’exprimer de nouveau, ce n’est pas NOUS qu’il faut sanctionner. »

Les électeurs sont bien obligés de constater que les mandataires qu’ils ont élus, sont incapables de les représenter puisqu’ils n’arrivent à un accord de gouvernement.
La seule solution pour les vrais démocrates est de consulter à nouveau le peuple et de voir s’il soutient toujours les mêmes ou s’il change de position, face à cette crise.

Or cela, Di Rupo le refuse pour des raisons électorales. Il pense que ce vote est incertain pour le PS. Et comme il sait qu’un grand nombre d’électeurs n’ont pas envie d'aller revoter, il prend ses précautions, « Ce n’est pas le PS, qu’il faudra sanctionner » .

Prudent le gaillard. J’y suis, j’ reste, mais si l’on fait de nouvelles élections, ce ne sera pas de ma faute. Votez pour moi, comme dirait André Lamy !

Le 23-02-2011


 

 

 

 


 

Vincent Reuter de l'Union wallonne des entreprises se réveille enfin

"Quand on voit ce qui va nous tomber dessus en termes de nouvelles missions régionales suite à la future réforme de l'Etat... Actuellement, la Wallonie n'est pas prête à recevoir ces compétences. Mais la bonne nouvelle, c'est qu'il ne tient qu'à elle de s'organiser".

Mais s’organiser comment ? Et d’ajouter "On n'arrive à peine à mettre en place les nouveaux outils pour l'emploi actuel alors qu'on va peut-être devoir faire nous même le paiement des allocations de chômage et le contrôle des demandeurs d'emploi".

La bonne solution pour les entreprises wallonnes et leurs travailleurs, c’est de rejoindre la France pour prendre l’essor dont elles seront capables intégrées dans la 5e puissance économique mondiale !

Le 22-02-2011


 

 

 


 

Milquet confond mesures anti-terroristes et mesures contre la délinquance

"Je ne suis pas sûre que l'on doit envisager un plan vigipirate en tant que tel. Ce qu'il faut c'est un renforcement structurel. La méthode, on en discutera plus tard."

Le plan Vigi-pirate en France a été créé contre les actions terroristes et les tentatives d’attentats.
L’utilisation de militaires en Belgique s’inscrirait dan une mission de combat contre des délinquants. L’armée au secours de la police va-elle aller jusqu'à assumer la répression des manifestations.

Le gouvernement fédéral provisoire, à la suggestion du roi, outrepasse la gestion qui lui est confiée, l’armée descend dans les rues. Décidemment, l’on glisse rapidement vers un Etat de non-droit !

Le 19-02-2011


 

 

 


 

Rik Torfs du CD&V n’aime pas consulter le peuple

"Les hommes politiques sont élus pour trouver des solutions et mettre sur pied un gouvernement. Pas pour ne pas en former, et reconduire la population vers les urnes, comme M. De Wever semble le suggérer à présent".

Ces paroles démontrent surtout le mépris pour le peuple. C’est la même attitude au PS, au CDH, à Ecolo et au MR.

En effet, il n’y a pas d’accord entre les partis pour former le gouvernement. Il faut donc à nouveau consulter les électeurs. Tous ces partis clament en chœur « Cela ne fera qu’aggraver les choses », la peur étant de voir monter le score de la NV-A.

C’est possible mais c’est la démocratie dont ils ont oublié les règles dans leur attitude « j’y suis, j’y reste !

Le 16-02-2011


 

 

 

 


 

Caroline Gennez oublie les quelque sept mois d’immobilisme

« Nous n'avons jamais stagné comme ces 2 dernières semaines. On n'a pas pipé mot du contenu et soudain, on ressort les pions. Cela n'a jamais été favorable à un accord »

Cette socialiste flamande est-elle bien placée pour parler de stagnation ? Parce que sous la direction de Vande Lanotte, cela allait plus vite et mieux ?

Décidément, les politiques belges sont dignes de l’école élémentaire. C’est à qui dira qu’il est plus intelligent que l’autre, non parce qu’il le croit, mais simplement pour apparaître dans les médias. Du vent voilà ce qu’ils offrent tous à leurs électeurs.

La belgique se meurt, la belgïe est en train de naitre. Wallons, aux abris !

Le 15-02-2011


 

 

 


 

 

Un internaute sur le blogue de Jean Quatremer écrit :

« Je ne vois que deux solutions pour sauver la Belgique, décider de placer la Belgique sous une "gouvernance politique européenne" ou nommer M. Kouchner, Haut Commissaire pour la Belgique... »

Cette phrase d’un citoyen lambda montre le degré d’abandon des Wallons. Plutôt que de réagir, ils espèrent une intervention extérieure pour « sauver » la belgïe.

Pourquoi pas l’Onu ? Ou une neuvaine organisée à la cathédrale Saint Michel à Bruxelles ou encore appel au Pape. En tant que Wallon, il m’arrive d’avoir honte de mes frères.
Où est-il le diction populaire « Aides-toi et le ciel t’aidera »  ?
Pas chez les Wallons apparemment !

Le 12-02-2011


 

 


 

 

Didier Reynders voit bien Di Rupo en 1er ministre

"C'est une des possibilités. Les gagnants des élections doivent prendre leurs responsabilités. Si, à un moment donné, Elio Di Rupo veut assumer une mission de formation, il aura le soutien de tous les partis francophones" a déclaré ce défenseur de la Belgique à n’importe quel prix.

Détail comique il parle avec amour de ce front francophone qui l’a rejeté pendant huit mois. Autre constatation, il y a la création d’un couple sado-masochiste, un parti de droite molle avec un parti de gauche molle.

Mais avec la droite forte de Bart De Wever, ce couple contre nature va drôlement être secoué si le gouvernement proposé se formait !

Le 09-02-2011


 

 


 

 

Catherine Fonck refuse la grève du sexe

  "Les politiques ne sont pas là pour faire grève, au contraire, les politiques sont là pour s’activer. Ça ne grandit pas la classe politique, par rapport aux attentes des citoyens, mais aussi par rapport au fossé important qui s’est creusé entre les citoyens et les politiques," a-t-elle déclaré le plus sérieusement du monde à l’offre de Marleen Temmerman, la sénatrice sp.a qui proposait aux femmes de faire cette grève du sexe tant qu’il n’ ya pas un gouvernent. Va-t-elle déclarer qu’elle refuse de porter la barbe comme Benoît Poelevoorde ?


Une preuve de la qualité de nos politiciens. Pontifier sur des propos aussi absurdes n’est pas la démonstration d’une grande intelligence 

Le 04-02-2011


 

 

 


 

 

Sabine Laruelle, Colonel grec en jupon ?

"On est dans une situation particulière. Nous sommes en affaires courantes depuis fin avril 2010. Si les chiffres sont bons au niveau chômage et relance économique, il convient de prendre un certain nombre de décisions, notamment pour être dans les clous au niveau européen. Il est donc urgent que l’on aille plus loin, notamment dans la formation du budget 2011", a expliqué Sabine Laruelle, même si on s’éloigne de la Constitution.

En Belgique, à quoi sert la Constitution ? A rien ! Et le roi ? C’est lui qui propose de s’en écarter ! Et la démocratie ? Rien à cirer apparemment !

La Belgique devient-elle la Grèce des Colonels ?
Pour le MR, oui certainement !

Le 02-02-2011


 

 


 

 

Après 8 mois de rejet haineux, le CDH soutient Reynders

« Quelle que soit la méthode ou composition choisie" avec pour seul objectif "l'intérêt général de notre pays". "Le CDH continuera à jouer un rôle constructif en vue de préparer une réforme approfondie de l'Etat, respectueuse des droits et intérêts socio-économiques de chacun »

L'on savait que Milquet était une girouette, mais elle devient plutôt une éolienne qui prend de la force en suivant la direction du vent.

Aujourd'hui, elle fait semblant de se réjouir du choix de Reynders comme "marieur" en oubliant que le contrat de mariage s'il a lieu sera en faveur de l'époux flamand. Mais peu importe, une Belgïe lui semble préférable à toute autre solution raisonnable !

Le 01-02-2011


 


 

 

Dany Boon ou le clown qui se prend pour un philosophe !

« Il ne faut pas faire la scission de la Belgique. C’est une connerie. Ne faites pas ça ! (…) ou alors il faut faire une scission de l’hémisphère droit et gauche de Bart De Wever. S’il y a une scission de son cerveau – c’est un peu douloureux mais ça ira assez vite - quand il aura une idée à la con dans l’hémisphère droit, il ne pourra pas l’exprimer avec son hémisphère gauche ».

Comique ? Il l’est, c’est indéniable. Mais intelligent ? Certainement pas, avec des réparties aussi « connes » sur une situation politique très grave d’un pays qui va simplement lui servir à faire du fric !

Le 30-01-2011


 

 

 


 

 

Jean-Marc Nollet Nollet, fidèle Sancho Panza d’Elio Di Rupo

Il a déclaré que pour les nationalistes flamands, « ce qui compte, c’est la Flandre. Et maintenir cela, c’est un peu comme au Moyen-Age. On encercle l’Etat fédéral et on attend. On se dit que les vivres n’arriveront plus, qu’il devra bien céder à un moment donné. Mais penser que les francophones vont céder. Mais ils rêvent tout haut".

Ce serviteur au panache verdoyant d'une chevalier rouge, pourfendeur de tous les moulins à vent du Plat Pays, a la référence historique qui tue. Il ressemble à tous les politiciens francophones qui se sentent assiégés depuis longtemps, mais n’ont jamais eu le courage d’effectuer une sortie pour tenter de mettre en déroute les assiégeants. Référence comique aussi,  lorsque l'on sait que les vivres proviennent en bonne partie de Flandre.

Les murs de la forteresse sont en pièces depuis qu’ils ont laissé créer l’état fédéral et le siège ne devrait plus durer longtemps !

Le 28-01-2011


 

 

 

Laurette Onkelinx doute et redoute

« On n’a pas confiance en la N-VA pour trouver une solution pour sauver la Belgique. Mais elle a été choisie par toute une série des électeurs flamands ».

Mais les Flamands et la N-VA ont-ils confiance dans les solutions socio-économiques du PS et de ses deux acolytes ? N’est-ce pas la gestion calamiteuse de l’état fédéral depuis des années qui leur donne l’envie de prendre leur destin en main ?

Le 26-01-2011


 

 

 

 

Les négociations vont-elles durer des années ?

A en croire Pierre Verjans, le politologue, l’ "on voit bien que tous les partis ont peur pour le moment de déclarer qu’ils refusent de continuer à discuter. On a l’impression qu’on recule sans arrêt le moment où les hommes politiques devront dire : ‘c’est terminé, on ne discute plus avec ceux d’en face’. Et la N-Va n’a pas envie de dire ça au sp.a et à Groen!, sp.a et Groen! n’ont pas envie de dire ça à la N-VA. De la même façon, les francophones n’ont pas envie d’être les premiers à dire ça aux néerlandophones et vice versa."

Un gouvernement pour 2015 ?

Le 25-01-2011


 

 

 

 

Reynders Liégeois peut-être, Wallon certainement pas !

Dans une interview exclusive accordée au Soir ce 22 janvier, Didier Reynders propose de créer une grande Région bruxelloise, qui intégrerait les deux Brabants flamand et wallon. Il rêve d’« une Belgique avec une Région centrale forte, plus large, qui regrouperait deux millions d’habitants.

Alors que tous le monde, même le plus obtus des libéraux, sait qu’une plus grande décentralisation apportera une perte financière pour la Wallonie, lâcher la province la plus riche de Wallonie au profit de Bruxelles serait meurtrier pour elle.

Les Wallons jugeront !

Le 22-01-2011


 

 

 

 

 

Une démocrate peu démocrate !

Joëlle Milquet a déclaré à la RTBF son espoir de voir "le temps, l'évolution des marchés, le mouvement citoyen" influencer les négociateurs, essentiellement du côté néerlandophone.

La manifestation "citoyenne" annoncée pour dimanche la réjouit, dit-elle car elle montre que les gens bougent et qu'en Flandre, il y a une opinion qui n'est pas séparatiste et qui veut parler des dossiers socio-économiques.

Mais si la girouette humaniste est pour l’expression des citoyens, elle est totalement opposée à toute idée de référendum qui ne donnerait pas les mêmes résultats dans les deux parties du pays. Ben, qui lui parle d’un référendum fédéral ?

Que les Wallons s’expriment et que les politiciens les écoutent enfin !

Le 18-01-2011


 

 

 

Jean-Marc Nollet, politique innocent ou imbécile ?

« Ce qui ne va pas, c'est qu'autour de la table on a un parti, qui est la N-VA, qui ne connaît pas le sens et la définition du mot compromis »

Le grand malheur de la Belgique depuis 1970, c’est que les partis francophones connaissaient trop bien le sens du mot compromis qui conduit à la compromission et à la trahison des électeurs !

Où en est l'élargissement de Bruxelles exigé par le Front francophones ? Du baratin électoral vite oublié !

Le 16-01-2011


 

 

 

 

 

La négociatrice du CDH ne connait pas la géographie politique

"A un moment, il faut se mettre à table, il faut parler, même si cela prend du temps. Quand on veut faire une réforme de l’Etat, on sait qu’il faut les 2/3. On sait que l’on a deux communautés et trois régions" a déclaré Joëlle Milquet aux journalistes qu'elle recevait pour ses vœux 2011.

Pour notre part, le vœu que nous formulerons est la reconnaissance de la Communauté germanophone par cette présidente de parti, qui fait de la politique depuis des années et qui ne sais pas encore qu'elle existe.

Certains ont affirmé qu'elle était folle, nous dirons simplement fort dissipée... et c'est cela qui défend les francophones. Au secours !

Le 14-01-2011


 

 

 

Krist Peeters rassure le Vlaams Blok

"Ne vous faites pas de souci: l'accord de gouvernement et la note Octopus ne seront pas revus, et certainement pas renégociés. (...) Mais je ne voudrais pas non plus recevoir des compétences dont je devrais conclure, à un moment donné: tout cela est tellement éclaté et si peu homogène que nous nous rendons un mauvais service"

Les trois mousquetaires (comme la presse aiment déjà les appeler)  du Roy sont finalement quatre comme dans le roman de Dumas. Non, Bart, t'es pas tout seul ! Tous pour un ! Un pour la Flandre !

Le 12-01-2011


 

 



 

Bart de Wever nous promet la rapidité

"S'il n'y a pas rapidement des avancées, cela n'a pour lui pas de sens de continuer. Soit, on enregistre des avancées. Soit, il faut honnêtement constater que cela ne va pas et cela n'ira jamais. Je ne suis pas demandeur de participer encore pendant six mois à des négociations. Je ne sais pas quand nous aboutirons mais cette nouvelle phase ne peut se prolonger pendant des mois. De cela, je suis convaincu",

Bart a encore une fois raison. Mais cela ressemble à une menace à peine déguisée de casser le jouet royal si Elio ne passe pas sous ses fourches caudines. Et n'ayant aucune confiance dans l'empereur du boulevard du même nom, cela devient angoissant. Va-t-il nous vendre en bloc ou au détail ?

Le 9-01-2011


 



 

Bart de Wever le dit, il veut un accord

« Je sais que beaucoup de gens ont des doutes sur le fait que nous voulons vraiment un accord. Mais il faut bien se rendre compte qu’en six mois, on aurait pu claquer la porte plusieurs fois et quitter la table. Et on ne l’a pas fait ».

Mais bien sûr, qu’il veut un accord … aux conditions flamandes bien entendu. Pourquoi quitterait-il une table où les francophones lui servent avec empressement la soupe ? Ils ont si peur d’être renvoyés chez eux. Alors, il demande toujours un peu plus de sel ou de poivre. Jusqu’où vont-ils s'aplatir devant cet ogre flamingant  ?

Le 7-01-2011

 

 


 


 

Milquet, la girouette, a toujours aimé le MR

« Nous n'avons jamais voulu une exclusive. Je pense que le problème n'est pas du tout celui-là. Tous les partis francophones défendent les mêmes intérêts. Le problème vient du côté néerlandophone ».

Bizarre que brusquement les libéraux francophones soient dignes de figurer dans le front francophone dont ils furent exclus 6 mois.

Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c’est étrange !
« Il est consolant de penser que si la folie ne gagne rien au contact de la raison, en revanche, la raison s’altère au contact de la folie »  - Georges Courteline

Le 6-01-2011

 

 


 


 

Quand Le Soir montre sa totale connerie

Il écrit ... le CD&V « a peut-être gagné des points jaune et noir, mais il a perdu sa réputation A part tenter pitoyablement de coller à la N-VA, que cherche donc ce parti autrefois responsable et garant de l'intérêt général »

Evidemment, sous la rédaction en chez de Béatrice Delvaux, cela ne peut qu’être comme cela. Oser affirmer que le le CD&V et le CVP, son ancêtre était responsable et garant de l’intérêt général relève du mensonge historique absolu !

Est-il possible pour un journaliste de penser que la longue marche des différents accords sur le fédéralisme ont été fait dans l'intérêt commun des Wallons et de Flamands? Au fou !

Le 3-01-2011

 

 


 


 

Pierre Vercauteren, le mage politique montois frappé

« Je suis frappé de voir que la marge de manoeuvre de la N-VA s'est singulièrement rétrécie. Quand Bart De Wever indique que le momentum est passé, c'est aussi le momentum pour la N-VA qui est passé ».

Il y a longtemps que RTL-TVI utilise ce qu'il faut bien appeler un mage, plutôt qu'un politologue. Professeur à la FUCAM, fief de Di Rupo 1er, il ne cesse d'énoncer d'un ton suffisant et prétention toute la gloire d'Elio 1er et d'affirmer la chute de Bart De Wever et de son parti dans l'opinion flamande.

Dommage pour sa crédibilité, la N-VA est créditée d'une augmentation de ses voix en cas de nouvelles élections. Mais cela est censé rassurer le Wallon. Elio est grande et Vercauteren est son prophète !

Le 2-01-2011

 

 


 


 

Un vrai sage, ministre d’état de conseil de la Couronne

C’est un des sages invités à Controverse de dimanche qui le dit : « Nous appartenons tous à une génération qui s’est bien connue et qui se faisait tout de même confiance », a déclaré tout de go Willy Claes (sp.a),

Petit rappel historique : selon la Cour de cassation belge, la société italienne Agusta a donc conclu, en 1988, avec plusieurs responsables du Parti socialiste flamand (SP), dont Willy Claes, ministre de l'Economie à l'époque des faits, un pacte de corruption qui lui a permis d'emporter le marché Aéromobilité I de fournitures d'hélicoptères à l'armée belge. Cette société a versé pour cela 51 millions de francs belges (environ 8,5 millions de francs français) au SP. La Cour a estimé, d'autre part, que Serge Dassault était responsable de l'organisation de pactes de corruption avec des responsables des deux partis socialistes belges, le SP mais aussi le PS francophone. Des sages comme l’on n’en fait plus. Ils se « faisaient confiance ! »

Le 1-01-2011

 


 


 

Serge Ducas, astrologue consulté par RTL- Info

«  Elio Di Rupo est en pleine ascension. il y a beaucoup de belles choses qui peuvent survenir pour lui au niveau politique comme sur le plan privé, en sachant qu'il traversera aussi une période difficile »

Et « de son côté Bart De Wever traverserait déjà une période de remous depuis un mois »

RTL-Info ne sait plus quoi faire pour accréditer l’estime de l’électeur pour le Duce de Mons et rassurer sur l’influence flamande du leader de la N-VA. L’information a cédé la place à la propagande de caniveau !

Le 31-12-2010

 


 


 

Bart De Wever "Belge de l'année" pour Le Soir

2010 ? Il dit "l'année de l'espoir et du désespoir. L'année de l'espoir parce que tant de Flamands ont enfin, de manière claire, osé voter pour le changement. Celle du désespoir aussi parce que, comme toujours, les forces de l'inertie et du statu quo tentent d'empêcher la concrétisation d'un réel changement" … 

2011 ?  La rédaction
« L’année de l’espoir et du désespoir. Espoir que les Wallons vont enfin comprendre que leur salut se situe en France. Désespoir de voir les politiciens francophones capituler devant l’intransigeance flamande »…

Le 29-12-2010


 


 

Centre de concertation des associations flamandes

"Les propositions de Vande Lanotte sont nuisibles à la Flandre. Il faut écarter ce charabia et redémarrer d'une page blanche. Il faut donner la priorité aux matières et aux leviers sociaux-économiques. Les allocations familiales et les soins de santé doivent aller aux Communautés, mais si c'est pour faire de l'émiettement (défédéraliser quelques compétences seulement, ndlr), alors autant ne rien changer"

Le 26-12-2010


 

 

 

 


 

Yves Leterme à la Libre Belgique

"Je crois qu'un gouvernement parlementaire, comme certains aimeraient l'installer, est illusoire. Ca s'enlise"

Les partis francophones se montrent plus ouverts, "Mais la grande différence, c'est la radicalisation de l'opinion publique flamande. Elle a perdu patience et on a vu ce qui s'est passé au mois d'avril"

À en croire, ce premier ministre qui parlait, il y a peu,  d'un nouveau fédéralisme de coopération. Il faut trancher dans le vif, les partis francophones cèdent déjà beaucoup, mais cela ne sera pas suffisant pour la Flandre !

En tout cas, la solution d'un gouvernement à la Verhofstadt, mettant au frigo les problèmes communautaires, ne lui semble pas possible !

Le 25-12-2010


 

 

 


 

Albert II confond compromis et compromission

« Il me semble qu'au sein de notre propre pays, nous avons quelque peu oublié ces dernières années l'art du compromis… D'où ma préoccupation et ma ferme volonté de lancer un appel à tous nos responsables et à tous les citoyens…. après plus de 6 mois de négociations, tous les éléments se trouvent sur la table pour réaliser une réforme profonde de l'Etat »

Un discours de Noël écarté de la réalité de la situation du pays et un appel à ajouter une nouvelle compromission à toutes celles qui ont conduit une belgique unitaire à un état inégal de plus en plus soumis à la Flandre. Pauvre royauté sans pouvoir réel qui tente de garder son petit royaume quitte à admettre la perte progressive de la solidarité nationale !

 

Le 23-12-2010


 

 

 


 

Di Rupo à plat-ventre devant la Flandre

"C'est la fin de l'année, les congés seront bénéfiques à tout le monde"

Petit message rédigé en flamand pour répondre au courroux des Flamands à sa déclaration dans les journaux du groupe Sud Presse où il oppose le "militantisme autonomiste de politiques et journalistes au nord du pays" à l'"attitude professionnelle" de leurs collègues francophones.

Un Di Rupo effrayé par ses propres déclarations. Il ne faut pas choquer ces braves Flamands, n'est-ce pas ?
Les Wallons acceptent tout, mais pas eux
!

Le 21-12-2010


 

 

 


 

Quand l'union fait la farce
Petit dialogue entre CDH et PS à propos de l'Europe

Milquet - J’ai peu d’amis au PPE. Il y a différentes tendances au PPE. Nous, CDH, sommes une espèce de satellite et nous votons ce que nous voulons… Nous sommes un peu sans famille. Mais c’est totalement frustrant…
Onckelinkx
- Au niveau du Parlement européen, notre groupe va peut-être s’appeler prochainement socialiste-démocrate-humaniste, pour accueillir ceux qui se sentent mal au PPE. Il n’y a pas que le CDH dans ce cas…

Qui oserait encore dire que le PS et le CDH ne partagent pas les mêmes valeurs et que voter pour l'un ou l'autre, c'est kif-kif bourricot pareil, comme l'on dit là-bas.
 

Le 20-12-2010


 


 

Pour Yves Leterme, un blocage est une « chance »

"Si début janvier il n'y a pas d'avancée dans la formation du gouvernement - et cette chance est réelle - ce gouvernement peut s'en charger",

Après la Marseillaise comme hymne national belge, ce brillant 1er ministre flamand confond chance et malchance.
A moins qu’il ne s’agisse d’un lapsus révélateur !

Le 19-12-2010


 

 


 

Jean-Marc Nollet sur RTL-TVI

"La prochaine étape des négociations est intéressante, on va sortir pendant quelque temps du débat sur l’autonomie fiscale pour revenir à traiter d’autres sujets socio-économiques"

Quelle merveilleuse pensée pour ce bobo écolo. Comme si les sujets socio-économiques pouvaient être exclus du débat communautaire .
Les Flamands n'accepteront plus le coup de 2007 ! 

Le 17-12-2010


 

 


 

Kris Peeters veut une notation différente Flandre/Fédéral

Le ministre-président flamand vient de dire espérer que l'agence de notation Standaard and Poor's fasse à l'avenir une distinction claire entre la notation de l'Etat fédéral et celle de la Flandre.

Il faut que les agences de notation fassent bien la distinction entre le fédéral et les entités fédérées  Il faut qu'elles tiennent compte « des prestations économiques en Flandre ».

L'on peut se demander quelle serait la notation pour la Wallonie ?

Le 16-12-2010


 

 

 


 

Elio di Rupo prêt à tout accepter

"Un accord reste toujours possible, fort heureusement. Je dirais même qu'un accord doit être possible car il n'y a pas d'autre solution",

Il n'y a pas d'autre solution, dit-il. Donc cela pourrait être une reddition sans conditions. Les Flamands sont en passe de gagner la guerre des nerfs dans leur avancée d'autonomie.

N'y-a-t-il plus de politiciens francophones avec un peu d'honneur et beaucoup d'imagination?

A un problème de cet ordre, il y a toujours plusieurs solutions quand on a le courage d'affronter la difficulté !

Le 15-12-2010


 

 


 

Melchior Wathelet à Pascal Vrebos

« Chacun devra avaler des couleuvres »

RTL-Info  « 
Les partis flamands ont réagi favorablement à la dernière mouture de la note du conciliateur sur la réforme de la loi de financement. Rien de surprenant puisqu'il s'agit d'un texte plus flamand, dit-on. »

A mon avis la couleuvre que le flamand avaleront sera de 10 centimètres contre 3,50 mètres. Un habitude bien de chez nous !

Le 15-12-2010


 


 

Di Rupo: une solidarité française meilleure que la belge

Dans son discours devant le Cercle de Wallonie, le président du PS a tordu le cou à plusieurs clichés sur la Wallonie. Par exemple, les Flamands donnent 4 fois moins aux Wallons que les Parisiens aux Auvergnats !

Qu'attend-t-il donc pour devenir rattachiste et demander notre rattachement à la France ?

Le 14-12-2010


 


 

André Flahaut ... un parfait démocrate ???

"Johan (Vande Lanotte - NDLR) doit réussir sa mission. Au niveau du parti socialiste, il y a une volonté de faire aboutir. Spéculer sur des élections, c'est un suicide collectif ".

Bizarre réaction de ce socialiste qui,  face à une situation inextricable, craint le verdict de l'électeur. Faut-il désormais supprimer les consultations d'un peuple considéré sans capacité de jugement ??? A quand une dictature socialiste ???

Le 13-12-2010


 


 

Di Rupo craint une révolution. Peut-être le grand soir ?

"Dans l'état actuel des finances internationales, c'est jouer avec l'argent des Flamands, des Bruxellois et des Wallons. C'est jouer avec toutes les entreprises flamandes, bruxelloises et wallonnes. Nous n'avons de leçons à recevoir de personne: la Wallonie est en plein redressement. Ces propos montrent qu'il y a des difficultés, et c'est maintenant à M. De Wever à dire si oui ou non, il veut un accord pour notre pays, ou s'il veut la révolution"

Le 9-12-2010

 


 


 

Baromètre trimestriel de Manpower

En Wallonie, les intentions de recrutement sont les plus limitées. En Flandre, le nombre d’employeurs prêts à embaucher a augmenté de 7 % par rapport au trimestre précédent. A Bruxelles la hausse est de 6 %.

« En revanche, les employeurs wallons se montrent plus incertains, en anticipant une stagnation de l’emploi dans leur région d’ici la fin du mois de mars 2011 (+ 1 %) », constate Philippe Lacroix, directeur exécutif de Manpower Belgique

Nous somme loin des communiqués triomphants de Marcourt sur la progression de la Wallonie. Encore du vent socialiste !

Le 7-12-2010


 


 

Joëlle exige, Bart dispose ....

"Il faut un accord institutionnel dans les trois semaines. Et s'attaquer dès lors à la formation d'un gouvernement fédéral. Car quand on aura abouti sur la réforme de l'Etat, on ne sera encore nulle part. Le temps presse terriblement ".

Décidément, cet femme croit encore qu'elle a quelque chose à dire... ridicule !!!!

Le 6-12-2010


 


 

Yves Leterme a dit :

« La N-VA doit faire partie du gouvernement… Je vous dis très clairement que le CD&V n'ira pas dans un gouvernement sans la N-VA »

Cette déclaration d’unité flamande faisait suit suite à l’appel d'Olivier Maingain aux partis en négociation pour qu'ils associent le MR à la constitution d'un gouvernement socio-économique sans la N-VA

Le 4-12-2010



 


 

Frank Vandenbroucke, socialiste flamand  le dit :

« Elio Di Rupo est maintenant complètement à genoux dans la neige. Il a tellement abandonné et fait de concessions que cela s’apparente aujourd’hui à une reddition totale »...

Il faut rappeler que Frank Vandenbroucke est le responsable du SP.A pour le dossier "loi de financement".  Un expert en matière de chiffres. (source LLB)
 
Le 1-12-2010


 

 



 

Deux Chroniqueurs RTL-TVI: De nouvelles élections ? début 2011 !

« La réalité, c'est que tout le monde attend la veille de Noël pour se positionner. Ce sera la fin de la présidence européenne et la coupe du monde aura été attribuée à un pays organisateur, dont la Belgique et les Pays-Bas sont candidats. Donc il ne faut pas faire de clash avant ces deux échéances importantes » Alain Raviart.

« Dans les sables mouvants, plus on essaie de sortir, plus on s'enfonce. La distance entre les positions francophones et néerlandophones restent abyssales. Vande Lanotte va probablement droit dans le mur même si on mettra du temps pour se l'avouer. Rien ne va mais personne n'ose débrancher la prise. On est vraiment dans l'impasse totale, on n'a pas de gouvernement et on voit bien que le climat est pré-électoral" Michel Henrion.

Le 27-11-2010


 


 

 


 

Un nouveau concept raciste est né

Radouane Bouhlal, président du MRAX s’en prend aux " Blancs " en Belgique.  Il ose affirmer que la société belge est carrément une société "de castes avec à sa tête les Belges blancs. Un individu d’une caste inférieure n’y est toléré que s’il reste bravement à son niveau ".

Il réinvente donc les races. Après le bœuf blanc-bleu belge, il créent des catégories de citoyens: le belge blanc, le belge basané, le belge noir et le belge jaune.  Tout cela pour stigmatiser la première catégorie qui est encore majoritaire dans ce pays, qui ferait partie d'une caste supérieure basée sur la couleur de la peau et qui fait preuve d'un racisme évident puisqu'il domine encore dans la société nationale. Ce belgo-marocain en prend à son aise avec un pays où les pouvoirs publics octroient à son mouvement, tout l'argent nécessaire pour stigmatiser ses concitoyens !

Le 25-11-2010


 


 

 


 

DROIT DE RÉPONSE

Suite à l'article paru sous le titre " Le Calvados - Un alcool français pour les Flamands uniquement ? " Monsieur Damien DE KONINCK, Managing Director Belgium de la Sopexa nous a transmis ce 25 novembre un courriel nous réclamant un droit de réponse.

Chose que nous faisons en publiant au bas dudit article la
copie du texte qu'il nous a envoyé, ainsi que la réponse que nous lui avons adressée.

Sans créer une polémique supplémentaire, il faut remarquer que dans son texte les "wallons" n'ont pas droit à la majuscule. Un détail, bien sûr !

Le 23-11-2010


 


 

 


 

Bon socialiste, Eerdekens n'aime pas mais il votera

"Si Ecolo prône le décumul (des mandats- NDLR), ce n'est pas par amour de l'éthique mais au nom d'un stratego. Les autres partis mettent sur leurs listes des mandataires locaux ayant une assise électorale forte. Interdire cela participe donc de la volonté d'affaiblir les autres en les privant de l'apport de ces porteurs de voix … A l'avenir, les parlementaires qui n'auront pas d'autres mandats ne percevront plus que ce revenu. Ils seront donc soumis à leurs partis car ceux-ci constituent les listes et pourront exercer des représailles sur les moins dociles",   Et ce sera pire chez Ecolo affirme-t-il, "puisque le parti prélève 40% des revenus de ses parlementaires. Ce sont des pratiques staliniennes, dignes des sectes. … le décumul est un gâchis terrible. Comme si la Wallonie était un petit îlot à la Cuba, envisageant un système crypto-communiste qui ne peut que dévaluer le travail parlementaire."

Mais Claude Eerdekens déclare qu’il votera la décret. La discipline de parti, sans doute ?

Le 22-11-2010

 


 

 


 

Petite guerre socialiste en Pays de Liège

Dans Paris-Match, Alain Mathot, fils socialiste héritier de Guy,Mathot, député-bourgmestre de Seraing, se déclare non impressionné à propos des propos de Michel Daerden, tenus à la fédération socialiste liégeoise en octobre qui avait déclaré notamment qu’il avait « des dossiers sur tout le monde" et qu’il pourrait "tout faire péter à la Fédération ».

« S’il y avait des dossiers, ils seraient déjà sortis ! » déclare Alain qui semble oublier que pour qu’un chantage fonctionne, il faut justement les garder secrets, sous peine de ne plus constituer une menace de révélation.

Le jeu « je te tiens, tu me tiens par la barbichette » semble très apprécié au PS, N’est-ce pas Elio !

Le 20-11-2010

 


 

 

 

 

 


 

La France de Sarkozy méprise-t-elle la Légion d’honneur de Liège ?

Le quotidien La Meuse l’annonce ce samedi. L’immeuble du 19e  siècle du Consulat Général de France de Liège est mis en vente. Zaïr Kedadouche, son  consul général déclare ne pas savoir de quoi l'avenir sera fait. Ce sont des raisons purement économiques qui amènent le gouvernement français à prendre cette décision, déclare-t-il.

Il faut savoir que l’ arrivée du premier consul de France, Monsieur Chapey  date de 1874 et a continué jusqu’à nos jours avec une interruption entre 1940 et 1095 où Monsieur SARRIEN, consul à l’époque rejoignit  le Quai d'Orsay

Mais la France, notre France oserait-elle supprimer ainsi le lien historique fortement tissé avec la Cité ardente, le ville la plus française du pays, une des cinq seules villes étrangères a avoir obtenu la Légion d’honneur ?

Ce serait le symbole d’un mépris évident pour les Belges français de Belgique que l’on ne pourra que porter au passif du gouvernement actuel. Quelques milliers d’euros de plus ou de moins ne vont pas changer l’état des finances françaises. Ce sont des économies de bouts de chandelle.

Mais l’outrage, lui, sera incommensurable sur l’affect  du Pays de Liège !
Le 19-11-2010

 


 

 


 

Fadila Laanan réjouie: Di Rupo a sa capitale de la Culture

La ville de Mons a été désignée jeudi capitale européenne de la culture en 2015. Fadila Laanan, ministre socialiste de la Culture de la communauté française s'est déclarée "très heureuse de cette décision très importante pour la Belgique".

La cité dirupienne avait déjà été désignée par le jury, faute de concurrents, Monseigneur Di Rupo, président du parti socialiste ayant demandé à Willy Demeyer, bourgmestre socialiste de Liège de saboter le dossier de candidature. Ce que ce dernier fit avec toute la vigueur nécessaire !

Un bon exemple de démocratie donné par la CE qui accepté de valider une candidature unique et laisser croire qu'elle a fait l'objet d'un choix.

Le 18-11-2010

 

 

 


 

Le CD&V craint de nouvelles élections

Steven Vanackere, vice-premier ministre CD&V sortant a déclaré « Je veux m'opposer à ceux qui martèlent que ceci est la mission de la dernière chance et qu'en cas d'échec, les élections seront inéluctables. Je pense que nous sommes obligés d'aboutir à un accord.  S'il intervient avec Vande Lanotte, tant mieux. Mais si une prolongation des discussions s'avère nécessaire, il est de notre devoir d'y recourir » 

Forcément, le CD&V sait que la N-VA lui prendra encore 3 à 5 % d’électeurs de plus ! 
Bart, le maître de la Flandre ? Comment en douter ?

Le 17-11-2010

 

 

 

 


 

Josy Dubié a claqué la porte de son parti

L'ex-sénateur Ecolo se dit lassé de l'attitude de la hiérarchie du parti et de son manque d'intérêt criant pour les problématiques internationales et reproche également la ligne "trop pro-catholique" et monarchiste de Jean-Michel Javaux.

"...j'ai donc décidé, après longues et mûres réflexions, de quitter le parti Ecolo, de plus en plus parti de bobos dont je ne supporte plus les dérives « libérales libertaires » ni les foucades monarchistes et calotines de notre « chef » ...Je quitte un parti qui parvient à rassembler des centaines de militants pour sauver les bébés phoques ou la banquise, mais pas plus d'une grosse vingtaine de ploucs, comme l'autre jour à la porte de Namur, pour s'opposer, avec les syndicats de toute l'Europe, au démantèlement des « acquis sociaux » (un gros mot pour les libéraux), fruit du combat séculaire de millions de travailleurs ! 

Ce républicain tiers-mondiste mais belgicain, aurait-il enfin compris la conformité cachée de ce parti de gauche bobo ?

Le 16-11-2010

 

 

 


 

Paul Magnette le reconnait: il dit des conneries !

Ce matin sur Bel-RTL, la réponse à la question sur un rattachement à l'Allemagne ou à la France ? -  " Ça n'aurait pas de sens. Nous vivons dans une Belgique qui a une vraie valeur, qui est reconnue à l'international. Notre responsabilité est d'avoir un accord, une Belgique qui fonctionne ".

Pourtant il y a peu , il déclarait « Il y a une rupture culturelle avec les Français. Si on doit se rattacher un jour, ce sera plutôt avec l'Allemagne. C'est plus dans l'intérêt industriel de la Wallonie ».

"Si la Girouette pouvait parler, elle dirait qu'elle dirige le vent"  Jules Renard

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Dernière modification : 08 janvier 2012