Wallonie 2010

"Forcer l'Avenir - Rejoindre la France"
 

 
 
 

Prendre le taureau par les cornes



L'éveil de la Wallonie












 

 

Un petit coup de gueule Bernardino Fransousky

Un petit coup de gueule Bernardino Fransousky, citoyen français pour terminer sa matinée:  

Quand on est désavoué par le poids des faits et qu'on veut maintenir un ordre social qui sert la clique au pouvoir, restent la peur et le chantage.

Bientôt ...une nouvelle série de faits divers du style "tueurs du Brabant ou Marc Dutroux"? Histoire de bien montrer que sans l’intimidation policière et le chantage à l'emploi pistonné ce serait le chaos ?

A quand les sorties violentes du Voorpost en Wallonie et à Bruxelles sous la haute bienveillance de l'État belche avec pour seuls commementeries sur la Une "cematin tensions communautaires en Wallonie" ? A quand les menaces de fermeture imminentes d'entreprises Wallonnes sans l'arrivée de miraculeux entrepreneurs venus du Nord etc. ?

Par respect pour les rares Belges sincères - pas les belgicains et wallingants rabiques qui n'ont comme cache sexe identitaire que la haine du français - je ne dirai pas tout haut ce que je pense de ce royaume faussement débonnaire et de son cynisme ..
 

Je me contenterai de dire que sans ce régime plus que contestable, les Flamands n'auraient pas pu se servir sur le dos de la mule Wallonne et maintenant Bruxelloise. Ils auraient dû combattre et souffrir au lieu de prendre et de jouir.

 

Parfois on a ce sentiment que les Wallons et Bruxellois sont un Peuple abîmé, divisé, et surtout malade d’un orgueil dressé sur sa pointe. On se dit que seul l'anéantissement par la Flandre et le Palais pourraient leur ouvrir enfin les yeux .
Comment leur venir en aide quand tout est inversé, quand le simple fait de tendre la main et de dénoncer un certain nombre de réalités est interprété aussitôt comme une agression insolente, un appel à la reddition devant le Français colonial et concupiscent (je n'ose pas dire écrire autrement le mot concupiscent) ? Comment leur faire comprendre que l'Etat Français n'a RIEN A FOUTRE de la Belgique et qu'à force de le conspuer politiquement et stratégiquement cet Etat Français, les Francophones belges se tirent une balle dans le pied, et vont se retrouver SEULS au moment ultime qui approche à grande vitesse ?

Comment leur faire comprendre à ces poujado-Wallingants nombrilistes que nous avons changé d'époque que l'on ne combat pas un envahisseur majoritaire secondé par un corpus réglementaire conçu pour lui être systématiquement favorable, par des coups de gueule stériles, de grandes grèves ou encore avec quelques pétoires mais en s'appuyant d’abord sur Bruxelles, puis sur un autre Peuple, plus proche et moins dissemblable que celui qui vous veut du mal ?

Que le seul espoir d'inverser la vapeur c'est d'utiliser les atouts géopolitiques et démographiques que représentent ces 65 millions de personnes solidaires ?
QUE C'EST CELA LE GOEDENDAG DES WALLONS COMME DES BRUXELLOIS: FAIRE SOCIÉTÉ avec les FRANÇAIS PAR TOUS LES MOYENS POSSIBLE : partages coopérations économiques, migratoires, culturelles, industrielles, éducatives, militaires, etc.

Quel est le problème radical des francophones de Belgique? Le déficit démographique face aux Lebensraum Flamand et francophobe !
Quel a été le problème radical des francophones de France ? Le déficit démographique face à l'Allemagne en quête de son Lebensraum ethnique et judéophobe !

Et qu’on n’ose pas dire qu’en fédéralisant l’Etat Belge avec des frontières linguistiques, on ne savait pas ce qui allait se passer et qui allait payer la note. Dès cette époque les jeux était faits, la Belgique devenait un Etat sous tutelle nationaliste flamande et à son service exclusif. Le jeu des mandataires francophones se réduisait dès ors à réclamer quelques sous pour endormir les gens. Et à attendre les extorsions suivantes contre un peu de ce sale argent.

Comment faire comprendre à ces Belges autistes et indolents qu'il ne suffit pas de dire « qu'on en a assez des Flamands » tout en minorant systématiquement l'ampleur de leur prédation et en ne proposant rien ou presque ? Comment leur donner envie d'être proactifs, d'anticiper, de devancer l'ennemi et l'attaquer, oui l'attaquer là où il est encore faible?

Sans attendre les coups qui ne cesseront jamais de pleuvoir ? Plutôt que de défiler comme des "biesses" à Bruxelles plutôt qu’à Antwerpen derrière les fils des Flamands ?

Comment faire comprendre à ces Belges francophones que 80 % de leurs représentants élus partagent en secret nos analyses mais que certains ont renoncé et se sont résignés à laisser faire l'Etat Belge dans son auto- dépeçage devenu directoire de liquidation de la francophonie belge ? Ont-ils seulement conscience de toutes les conséquences géopolitiques et identitaires que cela implique ?

Que sont les 150 000 francophones de Région Flandre devenus aujourd'hui ? Des Rats !

Et on passe pour un "extrémiste" ?
Comment faut-il le dire alors? En vaticinant ? En théorisant pour amortir l'effet de souffle des réalités explosives ? Comme si la réalité était dans les mots plutôt que dans les choses ! En tenant de lénifiants propos du genre : "la cinématique de la prise de conscience francophone est déphasée par rapport à celle des extorsions flamandes ?"

Comprenez bien chers mandataires belges qu'il y a "comme un léger problème", lorsqu'on fait le déplacement pour vous rencontrer qu'on vous expose la situation analysée par d'autres algorithmes et qu'au bout d'une heure trente de cet exercice on voit votre regard détendu moitié surpris, moitié admiratif, qu'on vous entend dire "je suis tout à fait d'accord, vous avez une vision européenne et très intéressante, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? " . Combien de fois ai-je entendu cela depuis trois ans ?

Il me semble que si j'étais à votre place je saurais vous dire ce que vous pourriez faire pour moi .

 

René G. Thirion

 

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Dernière modification : 26 septembre 2011